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sclérose sans opération

LES DIFFÉRENTES SORTES DE SCLÉROSES EN PLAQUE

Par Le 26/12/2019

LES DIFFÉRENTES SORTES DE SCLEROSES EN PLAQUE
Maladie auto-immune, la sclérose en plaques affecte le système nerveux central. Ce qui se traduit par des poussées inflammatoires qui peuvent entraîner des troubles moteurs, visuels ou sensitifs, selon les zones touchées. Entre poussées, périodes de rémission et phase progressive, tour d’horizon des différentes formes d’une maladie qui reste toutefois marquée par le sceau de l’imprévisibilité. D’où une prise en charge au cas par cas, soutenue par un arsenal thérapeutique qui n’a cessé de s’enrichir au cours des vingt dernières années.

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Les types de scléroses :
Type 1 : Poussée-rémission, rémittente ou cyclique
Cette forme de sclérose en plaques est la plus commune. Elle se développe par des périodes de poussées et de rémissions, c’est-à-dire qu’une poussée de symptômes aggravants surgit durant une période de temps, s’échelonnant entre quelques semaines à quelques mois, pour ensuite s’estomper partiellement ou totalement.
Type 2 : Progressive primaire
Cette forme connue mais peu représentée dans la population de gens touchés par la sclérose en plaque se développe dans une progression lente presque continue à partir du jour où le patient reçoit son diagnostic.
Type 3 : Progressive secondaire
Cette forme se découpe en deux phases distinctes. La première phase se caractérise par le type de poussée-rémission, c’est-à-dire en poussée de symptômes qui s’estompent partiellement ou totalement après une période de temps. La deuxième phase se caractérise par une aggravation constante des conditions du patient entrecoupée de courte période de rémission. Près de la moitié des gens atteints de la sclérose en plaques qui suivent le développement de poussée-rémission subiront cette forme de sclérose en plaques moins de dix ans après leur diagnostic.
Type 4 : Progressive récurrente
Cette forme, la plus rare, observe une évolution uniforme dans la dégradation des conditions de vie de la personne en plus de poussées occasionnelles.
Pour être plus explicite dans nos explications :
En dépit de son caractère hétérogène, la sclérose en plaques se classe en formes cliniques relativement bien définies. Aujourd’hui, on en compte essentiellement trois.
La forme rémittente avec poussées.
 Elle concerne 80 % des patients au début de la maladie. Et plus particulièrement la jeune femme de 30 ans, avec un ratio de trois femmes pour un homme. Les poussées peuvent durer de quelques heures à quelques jours. "Le ou les symptômes apparus peuvent disparaître complètement et le patient n’avoir qu’un minimum de handicap résiduel", assure le Pr Pelletier. Quant à la fréquence des poussées, elle est imprévisible, avec des intervalles pouvant aller de quelques mois à plusieurs années. Cette forme d’évolution peut être très variable dans sa durée.   
Dans cette forme de sclérose en plaques on rencontre des rechutes imprévisibles (exacerbations, attaques), pendant lesquelles de nouveaux symptômes apparaissent ou les symptômes existants deviennent plus aigus. Cet état est de durée variable (jours ou mois) et peut être suivi d'une rémission partielle ou totale. La maladie peut rester inactive pendant des mois ou des années.
Fréquence: environ 25%.
La forme dite progressive d’emblée (ou "progressive primaire").
Elle concerne environ 20 % des patients. Elle survient plus tardivement, après 40 ans et, même, 50 ans. Lorsque la phase de progression se met en place, l’évolution de la maladie est généralement irréversible. "Si nous avons énormément progressé en matière de traitements, nous sommes encore démunis face à la forme progressive. L’évolution de la maladie sera forcément grave", souligne le Pr Pelletier. Elle se traduit par des atteintes principalement motrices.
Cette forme de sclérose en plaques, qui est consécutive à une ou deux attaques avec rémission totale, ne s'aggrave pas avec le temps et n'entraîne pas d'infirmité permanente. La sclérose en plaques bénigne n'est reconnaissable que lorsqu'il n'existe qu'un degré minimum d'infirmité, quelque 10 à 15 ans après le début des premiers symptômes. La sclérose en plaques bénigne s'accompagne le plus souvent de symptômes peu sévères (notamment sensitifs).
Fréquence: environ 20%.
La forme dite secondairement progressive.
 Elle correspond à l’évolution de la forme rémittente avec poussées, déclare Jean Pelletier : "Après un certain nombre d’années, les poussées ont tendance à s’éteindre pour céder la place à une forme progressive". Après quinze à vingt ans, la moitié des patients quitte la phase rémittente pour développer cette nouvelle forme de la maladie. Le handicap s’accroît alors lentement, mais de manière irréversible. L’arrivée des traitements de fond, il y a une quinzaine d’années, pourrait toutefois modifier l’évolution de la SEP. "Nous manquons encore de recul, mais tout porte à croire que ce passage à la forme secondairement progressive pourrait se décaler dans le temps de manière conséquente", observe le Pr Pelletier.
Chez certains individus qui avaient à l'origine été atteints de sclérose en plaques rémittente, une infirmité progressive se développe ultérieurement, indépendamment des poussées, et s'accompagne souvent de récidives surajoutées.
Fréquence: environ 40%.
LA SCLÉROSE EN PLAQUE TARDIVE
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il n’y a pas d’âge pour commencer une sclérose en plaques. Il existe en effet une forme tardive de la SEP, et même très tardive, qui peut se déclarer après 60 ans. Sans que cela augure, pour autant, du pire. "Le patient peut en effet commencer une sclérose en plaques tout à fait classique, celle que l’on appelle rémittente avec poussées", précise Jean Pelletier. En d’autres termes, un début tardif n’est pas obligatoirement synonyme de forme progressive d’emblée, particulièrement grave. Mais même tardive, cette forme de sclérose en plaques était peut-être déjà à l’œuvre, à bas bruit, avant même que le diagnostic ne soit posé. "La maladie peut débuter son processus avant même l’expression clinique des symptômes. Certaines lésions dans le système nerveux central n’entraînent pas de troubles ou alors des troubles qui ne sont pas des signes objectifs de la maladie. C’est le cas de la fatigue ou des problèmes d’attention et de concentration". À noter que cette forme tardive peut aussi s’exprimer très précocement. À l’autre extrémité, elle touche les enfants ou les adolescents, qui entreront dans la maladie entre 10 et 15 ans.
Cette forme de sclérose en plaques se caractérise par une absence de poussées distinctes. Le patient souffre en revanche d'une installation et d'une aggravation progressive des symptômes de la maladie. Il y a une accumulation des déficits et des infirmités, ceux-ci pouvant parfois se stabiliser, ou s'aggraver au cours des mois et des années.
Fréquence: environ 15%.
 
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LES PLANTES MÉDICINALES CONTRE LA SCLÉROSE : Les experts de Dawasanté 

Par Le 26/12/2019

LES PLANTES MÉDICINALES CONTRE LA SCLÉROSE : Les experts de Dawasanté 
La sclérose en plaques ou SEP est une maladie inflammatoire qui attaque le système nerveux central. Le maladie s'aggrave lentement dans la plupart des cas et dépend entre autres de la gravité des signes et symptômes et de la fréquence des rechutes.

La sclérose en plaques touche le système nerveux central, en particulier le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière. Elle altère la transmission des influx nerveux et peut se manifester par des symptômes très variables : engourdissement d’un membre, troubles de la vision, sensations de décharge électrique dans un membre ou dans le dos, troubles des mouvements, etc.
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Les symptômes de la sclérose en plaques
Il existe de nombreux symptômes de la sclérose en plaques; les symptômes ont tendance à devenir plus graves à mesure que la maladie progresse. Les symptômes courants de la SEP comprennent des problèmes de vision, une faiblesse, des problèmes de mémoire, des problèmes d'équilibre et de coordination, et une variété de sensations dans les membres (comme des picotements, des picotements ou des engourdissements).
Les plantes médicinales :
On peut conseiller le thym qui booste un peu. Pour les maladies de ce type, pour les maladies auto-immunes, notamment la sclérose en plaques, on s'est aperçu que quand on avait une alimentation trop riche en sel, on avait une sur-sécrétion d'une substance appelée interleukine 17. Et cette interleukine 17 majore les effets auto-immuns. Il faut donc limiter de façon importante la consommation de sel quand on a des maladies auto-immunes, et notamment quand on a une sclérose en plaques. C'est une nouveauté, on dispose d'énormément d'éléments qui vont dans ce sens. Ce n'est pas une certitude absolue mais c'est assez simple. Avant d'utiliser des plantes, il faut en parler avec son neurologue. On pourra ensuite voir ce que l'on peut donner.
Pour atténuer les douleurs, on dispose d'un gros arsenal thérapeutique. En cas de douleurs articulaires ou inflammatoires, on peut conseiller l'écorce de saule blanc que l'on va utiliser en décoction. On peut aussi conseiller une plante qui pousse dans les prés humides, qu'on appelle la reine des prés. Ces deux plantes ont des effets anti-inflammatoires donc anti-douleur assez importants. Pour le saule blanc, on réalise des décoctions. On maintient l'eau bouillante pendant quelques minutes, le temps de bien exprimer les matières. Pour la reine des prés, on réalisera plutôt des infusions. Une fois que l'eau a bouilli, on arrête l'ébullition et on laisse infuser trois-quatre minutes maximum. Mieux vaut limiter le long cours pour toutes les plantes quelles qu'elles soient. On conseille plutôt des cures de trois semaines. On prend pendant trois semaines une plante, puis dans les trois autres semaines on prend une autre plante. On peut par exemple alterner reine des prés et saule. Enfin, pour la troisième période de trois semaines, on ne prend plus rien pour détoxifier l'organisme."
"Pour la reine des prés, il faut faire attention. Il ne faut pas faire bouillir trop longtemps, il faut porter à frémissements. Car les principes actifs ont tendance à se volatiliser. Autant pour certaines plantes, cela ne pose pas de problème mais pour la reine des prés, il faut faire attention. On laisse frémir et ensuite on laisse infuser environ dix minutes. On aura alors tous les principes actifs. Donc la forme tisane est très intéressante pour la reine des prés. On peut éventuellement en prendre sous forme de gélules, d'extrait sec mais la tisane est un très bon mode de consommation."
1. Aigremoine
L'utilisation actuelle de l'aigremoine est basée sur des siècles d'utilisation pour traiter divers problèmes de santé. Bien que différentes propriétés médicinales soient attribuées aux nombreuses variétés différentes d’agrimony, des recherches récentes ont découvert antiviral , antioxydant, anti-inflammatoire et stimulant le métabolisme  Propriétés. Recherche de confiance Source humaine sur cette plante comme traitement de la SEP est pratiquement inexistante, bien que certaines études de modèles animaux prometteurs étudient les propriétés de la plante en relation avec les symptômes de la SEP.
2. Amrit Kalash
Maha rishi amrit kalash est un complément alimentaire ayurvédique utilisé pour favoriser la santé immunitaire et ralentir la détérioration du système nerveux central. Les études humaines font défaut, mais l’étude animales Trusted Source semblent prometteurs pour ce supplément dans le traitement des problèmes potentiels associés à la Sclérose En Plaque.
3. Ashwagandha
Cette herbe ayurvédique est connue sous de nombreux noms, notamment Withania somnifera , ginseng indien et asana. Ses baies, ses racines et ses extraits sont parfois utilisés pour la douleur chronique, la fatigue, l'inflammation, le soulagement du stress et l'anxiété. Bien que certains recherche pour utilisations cliniques d'Ashwagandha Trusted Source sont prometteurs, il n'a pas été suffisamment étudié pour savoir s'il peut traiter efficacement la sclérose en plaques ou ses symptômes.
4. Astragale
L'astragale est une herbe utilisée depuis des siècles en médecine traditionnelle chinoise (MTC). Bien qu'il existe de nombreuses espèces de cette plante, seules deux sont généralement utilisées à des fins médicinales: Astragalus membranaceus et Astragalus mongholicus .l'astragale est sans danger pour la plupart des adultes mais peut interagir avec des médicaments qui affectent le système immunitaire. On pense que cette herbe affecte le système immunitaire, le foie et le cœur, mais il n'y a pas eu suffisamment de recherches chez l'homme pour comprendre pleinement ses effets.
5. Épine-vinette
L'épine-vinette, ou Berberis vulgaris , est utilisée depuis longtemps en médecine indienne et du Moyen-Orient pour soulager l'inflammation, lutter contre les infections, traiter la diarrhée et calmer les brûlures d'estomac. Il peut être utilisé sous de nombreuses formes et peut être utilisé pour stimuler le système immunitaire, mais la recherche humaine fait défaut.
6. Pollen ou venin d'abeille
Le venin des abeilles est un liquide clair, et le traitement des conditions de santé avec le venin des piqûres d'abeilles est appelé api thérapie (le venin est également connu sous le nom d'api toxine). Contrairement à de nombreuses autres herbes et suppléments utilisés pour traiter la Sclérose En Plaque et ses symptômes, le venin d'abeille a été spécifiquement étudié pour ses effets sur la SEP dans plusieurs essais cliniques. Ces essais sur l'homme étaient généralement de petite taille, et il y en a encore trop peu pour savoir avec certitude si les traitements dérivés du venin peuvent être utiles pour traiter la SEP. D'autres indiquent que la thérapie par piqûre d'abeille est carrément dangereux .
Le pollen d'abeille, en revanche, est de plus en plus utilisé comme complément alimentaire. Bien que ses propriétés soient toujours à l’étude, il semble. D'autres prétendent qu'il est utile pour stimuler la santé du système immunitaire et lutter contre les maladies chroniques. La recherche est limitée et réactions au pollen d'abeille sont possibles. Les personnes allergiques aux piqûres d'abeilles ou au pollen d'abeille devraient éviter toutes les options de traitement utilisant des extraits ou des produits d'abeilles.
7. Feuille de myrtille
La myrtille, également connue sous le nom de myrtille, est un parent de la myrtille et peut être utilisée pour ses fruits ou ses feuilles. Bien qu'il soit souvent utilisé dans les aliments, les baies et les feuilles peuvent être utilisées pour dériver des extraits de plantes pour suppléments et autres utilisations médicinales. Historiquement, cette herbe était utilisée pour tout traiter, des problèmes de vision et du scorbut aux problèmes de diarrhée et de circulation. Il existe peu d'essais humains fiables sur cette plante, et la recherche sur la myrtille spécifiquement liée à la Sclerose En Plaque est pratiquement inexistante. Cependant, il existe une preuve  suggérant que la myrtille est riche en antioxydants et a le potentiel d'améliorer la vision, de réduire l'inflammation et de protéger la fonction cognitive.
8. Racine de bardane
Arctium lappa , communément appelé bardane, est utilisé depuis des siècles en médecine traditionnelle chinoise (MTC) et en médecine européenne. Il est vanté pour sa capacité apparente à favoriser la circulation et réduire l’inflammation. La bardane est à l'étude pour ses capacités antioxydants et anti-inflammatoires et son impact potentiel sur le cancer, le diabète, les affections cutanées et le système gastro-intestinal. Des réactions allergiques graves à la bardane sont possibles, et peu de recherches sur la SEP et la bardane ont été effectuées pour déterminer si elle est utile pour les personnes atteintes de SEP.
9. Calcium
Le calcium est un minéral essentiel pour la santé et le bon fonctionnement de l'organisme. C'est une partie commune de nombreux régimes et c'est un supplément commun. La recherche indique que le calcium joue un rôle important dans la santé des os, la santé cardiovasculaire et le risque de cancer. Des niveaux appropriés de calcium sont importants pour tout le monde, mais les personnes atteintes de SEP qui prennent également de la vitamine D ou des médicaments avec l'un de ces ingrédients devraient consulter un médecin avant d'ajouter l'un de ces suppléments à leur routine. La vitamine D augmente l'absorption de calcium par l'organisme et une surdose de calcium peut être toxique.
10. Cataire
Apparemment, l'herbe à chat n'est pas seulement pour les chatons; certaines personnes utilisent cette herbe pour la gestion de la douleur SEP. L'herbe à chat a des effets sédatifs , qui peuvent en fait aggraver la fatigue ou multiplier l'effet d'autres médicaments sédatifs. La recherche chez l'homme fait cruellement défaut, mais les premiers essais sur des animaux sur des extraits de diverses espèces de cette plante indiquent que l'herbe à chat peut avoir des capacités.
11. Camomille
La camomille a été utilisé pendant des siècles à la fois par voie topique et orale pour les affections cutanées, l'insomnie ou l'anxiété, les maux d'estomac et les gaz ou la diarrhée. Les essais chez l'homme sont rares, mais son utilisation courante et sa disponibilité sous diverses formes font de la camomille un remède populaire pour certaines personnes atteintes de SEP. Offres camomille antioxydant  et  antibactérienne effets, et il est également étudié pour sa capacité à prévenir la croissance tumorale et les ulcères de la bouche pour patients cancéreux . Cependant, on ne sait pas suffisamment sur le rôle de la camomille dans le traitement de la SEP pour indiquer si elle est efficace à cette fin.
12. Chyawanprash
Le chyawanprash est un tonique à base de plantes couramment utilisé en médecine ayurvédique. Les premières études animales indiquent qu'il peut protéger la fonction cognitive en aider la mémoire Trusted Source. Il peut également contenir des ingrédients qui favorisent la santé du système immunitaire. Les études formelles sur les humains sont rares et il n'y a pas suffisamment de preuves pour déterminer si le Chyawanprash est efficace ou utile pour gérer les symptômes de la SEP.
13. Écorce de crampe
L'écorce de crampe, ou Viburnum opulus , est une écorce végétale utilisée pour traiter les crampes et les spasmes. Bien que la recherche humaine sur cette herbe en soit à ses balbutiements, elle semble avoir des capacité antioxydants et anti cancer  effets pouvant inhiber la croissance de tumeurs ou de lésions.
14. Canneberge
Bien que le jus de canneberge (100% de jus non sucré, pas de jus de cocktail ou de jus mélangé) et les comprimés de canneberge aient longtemps été utilisés pour lutter contre les infections des voies urinaires, la recherche indique que son bénéfice pourrait être inférieur à ce qui était prévu auparavant. Jus de canneberges pures dilué (qui est riche en antioxydants) et les comprimés de canneberge peuvent cependant être un moyen facile de donner aux patients atteints de SEP souffrant de dysfonction vésicale un peu d'avantage. Les complications avec ce remède sont rares.
15. Gingembre
Le gingembre est utilisé depuis longtemps pour sa saveur remarquable et ses fins médicinales. Dans les médecines populaires, il est couramment utilisé pour soulager les problèmes d'estomac, les nausées, les douleurs articulaires et musculaires et la diarrhée. La recherche commence à découvrir des anti-inflammatoires et potentiel neuroprotecteur au gingembre et autres épices. Le rôle potentiel du gingembre dans la prévention des problèmes inflammatoires fait du gingembre un excellent choix pour la cuisine. La plupart des gens peuvent tolérer une utilisation raisonnable du gingembre avec peu ou pas d'effets secondaires.
16. Ginseng
Il y a plusieurs variétés de ginseng utilisé à des fins médicinales. La plupart des formes de ginseng ont certains bienfaits pour la santé. Le panax ginseng, par exemple, est probablement efficace pour améliorer la réflexion et la mémoire et soulager la dysfonction érectile, bien que sa sécurité soit moins bien connue. Le ginseng américain peut aider à prévenir les infections respiratoires, et le ginseng sibérien peut avoir des propriétés antivirales qui pourraient aider à lutter contre le rhume. La plupart des formes de ginseng présentent également des avantages pour les diabétiques, mais toutes les formes comportent un risque d'allergie et d'interaction médicamenteuse. Demandez toujours à un médecin avant d'ajouter du ginseng à un régime alimentaire MS.
 
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LES CONSÉQUENCES DE LA SCLÉROSE : TRAITEMENT NATUREL

Par Le 26/12/2019

LES CONSEQUENCES DE LA SCLÉROSE : TRAITEMENT NATUREL
La sclérose en plaques (SEP) est une maladie du système nerveux central qui affecte la myéline (gaine qui entoure les nerfs et participe à la transmission de l'influx nerveux). Elle touche plus de 2 millions de personnes dans le monde, dont plus de 110 000 en France. Il s’agit de la première cause de handicap neurologique non traumatique chez les jeunes adultes. Elle débute à un âge où la majorité des patients construisent leur projet de vie personnel.
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Les conséquences physiques de la sclérose en plaques
Les conséquences physiques de la SEP sont probablement les plus connues (limitation de la marche, spasticité, raideurs, troubles urinaires, de la vue, fatigue…), même si les symptômes ne sont pas toujours visibles contrairement à ce que l’on pourrait croire. En effet, près des 2/3 des malades atteints de sclérose en plaques de forme rémittente (c’est-à-dire qui évolue par poussées, avec disparition partielle ou complète des signes neurologiques) assurent que la plupart des personnes de leur entourage ignorent qu’ils sont malades parce que leurs symptômes sont invisibles.
Cependant, près de 60 % des répondants à cette enquête estiment que leurs fonctions physiques se sont détériorées depuis leur diagnostic et plus de 75% que la fatigue limite leurs activités quotidiennes. Autre conséquence handicapante, plus d’1/3 des malades doivent adapter leurs sorties en fonction des problèmes urinaires associés à la SEP.
Les effets de la scléroses sur le malade
Système nerveux
Lorsqu'une personne est atteinte de SP, le système immunitaire de son corps attaque lentement sa propre gaine de myéline, qui est composée des cellules qui entourent et protègent le système nerveux, y compris la moelle épinière et le cerveau. Lorsque ces cellules sont endommagées, les nerfs sont exposés et le cerveau a du mal à envoyer des signaux au reste du corps.
La déconnexion entre le cerveau et les organes, muscles, tissus et cellules desservis par les nerfs endommagés provoque des symptômes tels que:
·        Vertiges
·        Confusion
·        Problèmes de mémoire
·        Changements émotionnels ou de personnalité
Dépression et d'autres changements dans le cerveau peuvent être un résultat direct de la SEP ou un résultat indirect de la difficulté à faire face à la maladie.
Dans des cas rares ou avancés , les lésions nerveuses peuvent provoquer des tremblements, des convulsions et des problèmes cognitifs qui ressemblent étroitement à d'autres conditions neuro-dégénératives telles que la démence.
Vision et perte auditive
Les problèmes de vision sont souvent le premier signe de SEP pour de nombreuses personnes. La double vision, le flou, la douleur et les problèmes de contraste peuvent commencer soudainement et toucher un œil ou les deux. Dans de nombreux cas, les problèmes de vision sont temporaires ou spontanément résolutifs et résultent probablement d'une inflammation nerveuse ou de la fatigue des muscles oculaires.
Bien que certaines personnes atteintes de SEP éprouvent des problèmes de vision permanents,une consequence pour la plupart des cas qui sont légers et peuvent être traités efficacement avec des stéroïdes et d'autres traitements à court terme.
Rarement, les personnes atteintes de SEP peuvent présenter une perte auditive ou une surdité causée par des dommages au tronc cérébral. Ces types de problèmes auditifs se résolvent généralement d'eux-mêmes, mais peuvent être permanents dans certains cas.
Parler, avaler et respirer
Selon la National MS Society (NMSS) , jusqu'à 40% des personnes atteintes de SEP ont des problèmes d'élocution. Ceux-ci inclus:
·        entrave
·        mauvaise articulation
·        problèmes de contrôle du volume
Ces effets se produisent souvent pendant les rechutes ou les périodes de fatigue . D'autres problèmes d'élocution peuvent inclure des changements dans la hauteur ou la qualité de la voix, la nasalité et l'enrouement ou la respiration.
Les problèmes d'élocution peuvent être causés par des difficultés respiratoires provoquées par des nerfs faibles ou endommagés qui contrôlent les muscles de la poitrine. La difficulté à contrôler les muscles impliqués dans la respiration peut commencer tôt dans la maladie et s'aggraver avec la progression de la SEP. Il s'agit d'une complication dangereuse mais rare de la SEP qui peut souvent être améliorée en travaillant avec un inhalothérapeute.
Les problèmes de déglutition sont moins courants que les difficultés d'élocution, mais peuvent être bien plus graves. Ils peuvent survenir lorsque des lésions nerveuses affaiblissent les muscles et entravent la capacité du corps à contrôler les muscles impliqués dans la déglutition. Lorsque la déglutition est perturbée , de la nourriture ou des boissons peuvent être inhalées dans les poumons et augmenter le risque d'infections, telles que la pneumonie .
La toux et l'étouffement en mangeant et en buvant peuvent être des signes de problèmes de déglutition et doivent être évalués immédiatement. Les orthophonistes et les orthophonistes peuvent souvent aider en cas de difficulté à parler et à avaler.
Faiblesse musculaire et problèmes d'équilibre
De nombreuses personnes atteintes de Scleroses En Plaque ressentent des effets sur leurs membres. Les dommages à la gaine de myéline entraînent souvent des douleurs, des picotements et un engourdissement des bras et des jambes. Des problèmes de coordination œil-main, de faiblesse musculaire , d'équilibre et de démarche peuvent survenir lorsque le cerveau a du mal à envoyer des signaux aux nerfs et aux muscles.
Ces effets peuvent commencer lentement puis s'aggraver à mesure que les lésions nerveuses progressent. De nombreuses personnes atteintes de SEP ressentent d'abord «des épingles et des aiguilles» et ont des difficultés de coordination ou de motricité fine. Au fil du temps, le contrôle des membres et la facilité de marche peuvent être perturbés. Dans ces cas, les cannes, les fauteuils roulants et d'autres technologies d'assistance peuvent aider au contrôle et à la force des muscles.
 
Outre les limitations physiques engendrées par la maladie, la SEP entraîne également des répercussions psychologiques, à la fois émotionnelles et cognitives.
 
SCLÉROSE EN PLAQUES, DÉPRESSION ET ANXIÉTÉ
La charge émotionnelle associée à cette maladie impacte la qualité de vie du patient et celle de sa famille proche. Cela est particulièrement marqué quand il y a présence de dépression et d’anxiété.
Cette affection a un impact sur la vie familiale (annonce difficile vis-à-vis des proches). La qualité de vie s’altère au fil des années mais le plus grand souci vient de l’aggravation de la difficulté à une participation sociale. Le lieu de vie doit parfois être quitté, tandis que la vie de couple et la vie de femme (contraception, fertilité, grossesse) sont souvent perturbées.
La littérature internationale rapporte une prévalence de la dépression sur la vie entière estimée à 50 %. L’incidence annuelle est de 20 % et elle est supérieure à la population générale . Le tableau clinique de dépression des personnes avec une SEP correspond aux descriptions classiques du comportement dépressif (changement d’humeur à type de : tristesse, ralentissement, dévalorisation, émoussement affectif avec isolement et perte de motivation…). Les complications dépressives s’observent plus souvent après l’annonce du diagnostic et lors de périodes d’aggravation.
La prévalence de l’anxiété se situe entre 43 et 70 % selon les études mais, elle reste mal connue, malgré ses conséquences sur de multiples domaines comme la cognition, l’adhésion thérapeutique, les symptômes de la maladie ou encore la qualité de vie. De plus, des recherches soulignent son rôle prédictif dans la survenue des symptômes dépressifs.
Même si de grands progrès ont été accomplis pour ralentir l’évolution de la SEP, près de 50 % des malades interrogés estiment malgré cela, que leurs perspectives d’avenir se sont détériorées depuis le diagnostic.
 
SCLÉROSE EN PLAQUES, MÉMOIRE ET RALENTISSEMENT
Sur le plan du fonctionnement intellectuel, 53 % des répondants à l’enquête atteints de sclérose en plaques rémittente signalent que des problèmes de mémoire affectent les activités quotidiennes. Ils sont plus de la moitié à se plaindre d’un ralentissement de leurs capacités à traiter l’information, de difficultés à se concentrer et à se souvenir des choses.
Les problèmes de mémoire sont en partie, liés au ralentissement du traitement de l'information et à une attention moins soutenue mais certains mécanismes directs de la mémoire peuvent être impliqués. Enfin, plus de 45 % des malades interrogés, avec une SEP rémittente, ont l’impression d’avoir des difficultés à prendre des décisions. Le médecin neurologue référent du patient est habilité à prescrire une demande d’examen neuropsychologique approfondi lorsque les plaintes cognitives de celui-ci déstabilisent les actes élaborés de la vie quotidienne.
 
Sclérose en plaques, vie professionnelle et vie privée
Les conséquences sur la vie professionnelle sont importantes : absences répétées ou prolongées, mi-temps thérapeutique obligeant parfois à un aménagement de travail ou à la recherche d’un nouveau métier. Une étude publiée en 2003 rapporte que le quart des patients atteints de Sclerose En Plaque perd son emploi cinq ans après le début de la maladie.
L’impact d’une sclérose en plaques a des conséquences sur la carrière et l’intimité. Les 2/3 des patients atteints de SEP rémittente affirment que leur maladie affecte leurs capacités à conserver leur emploi. L’évolution de carrière est limitée par le diagnostic pour près de la moitié des répondants alors qu’ils sont seulement 25 % à avoir indiqué que leur SEP engendrait des difficultés au travail, notamment pour ce qui est de terminer les tâches assignées.
Dans la sphère privée, la vie sentimentale est mise à rude épreuve par la maladie, à tel point que plus d’1/4 des malades redoutent que leur partenaire ne les quitte. Conséquence directe des limitations physiques et du fardeau émotionnel causés par la SEP, près de la moitié des patients avouent ne plus se sentir aussi sexuellement attirants depuis l’annonce de leur diagnostic. Pour les célibataires, la maladie est vécue comme un frein à la capacité de trouver un partenaire.
 
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Maladie de Charcot (SLA) : âge, premiers symptômes, espérance de vie

Par Le 26/12/2019

Maladie de Charcot (SLA) : âge, premiers symptômes, espérance de vie
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), ou maladie de Charcot est une maladie dégénérative progressive qui atteint les neurones moteurs.
 
La sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie dégénérative progressive rare qui atteint les neurones moteurs. Elle se caractérise par un affaiblissement puis une paralysie des muscles des jambes et des bras, des muscles respiratoires, ainsi que des muscles de la déglutition et de la parole.
L'âge moyen de début de cette pathologie se situe autour de 60 ans avec une légère prédominance masculine. Les personnes très actives, dont les grands sportifs, sont plus fréquemment touchées.
On n'en connaît pas l'origine, mais elle entraîne une altération des neurones permettant le transfert de l'ordre du mouvement : on les appelle les motoneurones. Ces neurones sont atteints à la fois au niveau du système nerveux central, cerveau et moelle épinière, mais aussi au niveau des nerfs périphériques. Elle entraîne inexorablement la mort des cellules nerveuses qui permettent les mouvements des muscles volontaires, puis la paralysie.
On ne connaît toujours pas les causes exactes de cette dégénérescence, mais plusieurs théories sont actuellement discutées par les scientifiques : un niveau trop élevé de glutamate (un "messager" qui intervient dans la transmission des messages nerveux), le dérèglement d'un "facteur de croissance" (substance qui permet de favoriser la croissance de certaines cellules), une réaction d'inflammation anormale ou une combinaison de ces différentes hypothèses.
 
Symptômes : crampes, paralysie, troubles de la parole...
La SLA peut se présenter sous deux formes principales : la forme "spinale" (qui débute par l'atteinte d'un membre), et la forme "bulbaire" (qui débute par l'atteinte des muscles de la bouche). La personne atteinte peut présenter des symptômes divers d'évolution progressive qui s'étendent au fur et à mesure :
·    des crampes musculaires,
·    des difficultés à la mobilisation, évoluant vers la paralysie,
·    une diminution de la masse musculaire, appelée amyotrophie,
·    un ralentissement des mouvements,
·    des contractions involontaires de certains faisceaux musculaires sous la forme de fasciculations,
·    des troubles de la déglutition,
·    des difficultés alimentaires,
·    des troubles de la parole.
Comment pouvons –nous diagnostiquer la sla ?
"Il n'existe pas de test spécifique pour diagnostiquer une SLA. Comme les premiers symptômes peuvent être assez discrets (crampes, faiblesse de la main, modification de la voix), les médecins ont parfois du mal à faire le diagnostic. Ils doivent avant tout "éliminer" les maladies proches de la SLA", indique le Dr Claire Lewandowski, médecin spécialisée en médecine générale. Les examens complémentaires, tels que l'électromyogramme, ainsi qu'une éventuelle biopsie musculaire autorisent un renforcement de la suspicion. Un examen d'imagerie cérébrale (IRM), une ponction lombaire et des examens sanguins sont souvent proposés.
Un seul médicament, le riluzole, permet de ralentir l'évolution de la maladie. Il diminue le taux de glutamate, ce messager nerveux qui se trouve peut-être en trop grande quantité chez les personnes atteintes de SLA. Il est en général prescrit dès que la maladie est suspectée. En outre, certains médicaments permettent d'atténuer les symptômes (antalgiques, antidépresseurs, laxatifs...) et des mesures non médicamenteuses peuvent être mises en place pour soulager et accompagner les personnes atteintes. Un accompagnement psychologique, des séances de kinésithérapie, de rééducation ou d'orthophonie peuvent aider les malades à maintenir la souplesse des muscles, et à conserver leur autonomie et leur capacité à communiquer le plus longtemps possible. Une prise en charge médico-sociale et la mise en place d'aides techniques sont aussi indispensables.
La SLA est une maladie neurodégénérative handicapante (au niveau moteur) qui réduit considérablement l'espérance de vie. Elle évolue à un rythme différent d'une personne atteinte à l'autre sans qu'il ne soit possible de prévoir sa durée d'évolution, même si la forme de SLA à début bulbaire se caractérise par une évolution plus rapide. Les difficultés à respirer liées à la paralysie des muscles respiratoires et aux infections respiratoires (qui peuvent être favorisées par les troubles de la déglutition) sont la cause la plus fréquente de décès.
En France, 6 000 patients souffrent de la maladie de Charcot.  Pour sensibiliser le grand public sur la diminution rapide de l’autonomie respiratoire et de l’espérance de vie associées à cette atteinte, l’ARSLA* vient de lancer une campagne « choc ».
Pour sa première campagne, l’Association pour la Recherche sur la Sclérose latérale Amyotrophique (ARSLA) frappe fort.  L’affiche donne en effet à voir une tortue retournée sur le dos, symbole de l’immobilité et de l’impossibilité d’un retournement de situation. La maladie de Charcot se traduit en effet dans le quotidien des patients par « un emmurement vivant », explique l’ARSLA en reprenant les mots du romancier Bertrand Poirot-Delpech.
Caractérisée par une dégénérescence des motoneurones liée à une cascade d’événements biologiques, la maladie de Charcot entraîne une fonte musculaire. Son évolution s’avère handicapante et progressive.  Selon les cas, cette altération se situe à deux niveaux :
·         Les motoneurones de la face et du pharynx : la forme est alors dite bulbaire. Les capacités d’élocution et de déglutition sont diminuées. L’espérance de vie est comprise entre 2 et 3 ans ;
·         Les motoneurones de la moelle épinière et du tronc : la forme est dite spinale. Les muscles volontaires de la marche et de la respiration sont atteints. Cette forme conduit au décès dans les 3 à 5 ans.
Au total, 10% des patients survivent 10 années après le diagnostic. 
Une origine multifactorielle
Les fonctions non volontaires du système nerveux sont en revanche épargnées : aucun des cinq sens n’est atteint et les compétences intellectuelles sont conservées. Idem pour l’activité des muscles de l’œil, de la vessie, de l’intestin et des organes sexuels. Mais d’autres symptômes associés à l’atteinte du système volontaire sont fréquemment repérés : « la constipation, un amaigrissement, des douleurs, des crampes, des raideurs musculaires », mais aussi « des œdèmes, des troubles du sommeil et vasomoteurs ».
L’origine de cette maladie reste non élucidée. Multifactorielle, elle résulterait de facteurs environnementaux et d’une susceptibilité génétique. L’influence d’une intense activité physique ou d’un traumatisme pose aussi question. Elle touche en effet beaucoup de personnes très actives comme les sportifs. Mais aucune confirmation scientifique n’a été établie à ce jour. L’âge moyen de diagnostic est de 55 ans, même si les cas affectant les patients entre 25 et 40 ans ne sont pas rares.
 
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