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tisane contre cancer du sein

TRAITEMENT NATUREL CONTRE LE CANCER DE SEIN

Par Le 26/12/2019

TRAITEMENT NATUREL CONTRE LE CANCER DE SEIN
 
Le traitement du cancer du sein nécessite une coordination étroite entre différentes disciplines médicales et paramédicales car il associe, en fonction des besoins, chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie et nouveaux traitements ciblés. Ces différents traitements peuvent être utilisés seuls ou, plus souvent, en association.
Le cancer de sein n’est pas non gérable ; c’est dans cet optique et afin d’éraquider le cancer de sein que les experts en santé de dawabio après mainte recherche vous propose une solution naturel à base de plantes pour traiter le cancer de sein. Cliquer sur l’image ci-dessous pour découvrirce traitement.
 
 
TRAITEMENT:
 
Le choix d'un traitement particulier dépend de différents facteurs, dont les plus importants sont :
  • le type de cancer du sein ;
  • l'envahissement ou non des ganglions ;
  • la présence ou non de récepteurs hormonaux à la surface des cellules cancéreuses ;
  • la présence ou non de métastases dans d’autres organes ;
  • l'âge de la personne et son état général.
Par ailleurs, la stratégie thérapeutique n’est jamais établie par un seul médecin. Chaque patiente chez qui un cancer du sein est découvert fait l’objet d’une Concertation Oncologique Multidisciplinaire (COM), où se réunissent des médecins des différentes disciplines. Le choix du traitement est le fruit de cette COM. Chaque traitement est donc individualisé.
Les effets des traitements du cancer du sein ne se limitent pas strictement aux cellules cancéreuses. Les tissus sains peuvent aussi être touchés, ce qui explique l'apparition d'effets secondaires dont l'intensité varie souvent d'une personne à l'autre. La plupart des effets secondaires s'atténuent avec le temps et disparaissent après l'arrêt du traitement. Dans certains cas, il est nécessaire de recourir à la prise de médicaments afin de maîtriser les effets indésirables. Les effets secondaires sont pris en charge par traitement.
1. La chirurgie
La chirurgie est souvent le premier traitement appliqué en cas de découverte d'un cancer du sein. Autant que possible, le chirurgien tentera de préserver le sein en procédant à une ablation limitée. Celle-ci est toujours complétée de l'enlèvement d’un ou plusieurs ganglions situés sous le bras (au niveau de l’aisselle). Ce procédé porte le nom de curage ganglionnaire. Pour les petites tumeurs, on peut repérer puis enlever le premier (ou les premiers) ganglion qui draine cette zone. Cette technique porte le nom de « ganglion sentinelle ». Si le ganglion sentinelle est indemne de cellules cancéreuses, il n’est alors pas nécessaire d’enlever les autres ganglions situés en profondeur.
La présence de ganglions envahis par les cellules cancéreuses conditionne en grande partie les traitements complémentaires. Selon les caractéristiques de la tumeur, différentes techniques sont envisageables.
La mammectomie radicale 
Cette intervention chirurgicale, aussi appelée mastectomie, correspond à l'enlèvement complet du sein. Après une mammectomie radicale, une prothèse externe en tissu léger est proposée à la patiente au moment du retour à domicile pour lui offrir  une silhouette équilibrée.
La tumorectomie
ll s'agit d'une ablation chirurgicale de la tumeur et d'une partie des tissus sains qui l'entourent. Si nécessaire, des prélèvements plus larges, appelés "recoupes chirurgicales", sont réalisés afin d'enlever une marge de sécurité suffisante tout autour de la tumeur. Cette chirurgie conservatrice permet de conserver le sein.
La quadrantectomie (aussi appelée mammectomie partielle) correspond à une tumorectomie de plus grande taille.
Effets secondaires de la chirurgie
Les symptômes les plus fréquents qui résultent de l'intervention chirurgicale pour un cancer du sein sont, du côté du sein opéré :
  • une sensation de raideur des muscles du cou, du bras et de l'épaule ;
  • des fourmillements au niveau de la main ;
  • la possibilité d'un hématome ou d'une infection de la plaie ;
  • des troubles de la sensibilité au niveau de la cicatrice et du sein (séquelles tardives).
L'enlèvement des ganglions situés sous le bras (creux axillaire) est responsable, chez certaines femmes, d'un gonflement du bras et de la main du côté du sein opéré. Ce phénomène s'appelle "gros bras" ou "lymphoedème". Le traitement fait appel essentiellement à la kinésithérapie spécialisée (drainage lymphatique) puisqu'il n'existe pas de médicament efficace qui permette de faire disparaître ce problème. Ce risque peut cependant être fortement diminué lorsqu'il est possible de ne prélever qu'un petit nombre de ganglions pour examen microscopique (technique du ganglion sentinelle).
2. La radiothérapie
Ce type de traitement du cancer du sein utilise des rayons de très haute énergie capables de détruire les cellules cancéreuses.
Objectifs de la radiothérapie
Comme la chirurgie, la radiothérapie est un traitement local du cancer du sein, c'est-à-dire qu’elle permet d’agir directement sur la zone touchée par les cellules cancéreuses. Elle est utilisée, en fonction des cas, pour :
  • diminuer les risques de récidive locale de la maladie après une chirurgie ;
  • permettre la conservation du sein dans les meilleures conditions ;
  • traiter directement la tumeur lorsqu’une opération n’est pas possible ;
  • irradier les différentes zones ganglionnaires autour du sein lorsque le curage ganglionnaire par chirurgie a montré de nombreux ganglions envahis.
Les techniques d'irradiation
La radiothérapie peut être appliquée selon deux techniques. En fonction du diagnostic, ces deux traitements de cancer du sein peuvent être combinés.
La radiothérapie externe
Les rayons sont produits par un appareil situé à l'extérieur du corps. Elle ne nécessite généralement pas d'hospitalisation. Les rayons sont administrés 5 jours par semaine, pendant plusieurs semaines d’affilée. Dans certains cas particuliers, une irradiation peut être administrée pendant l'opération chirurgicale (technique dite du Mobetron).
La radiothérapie interne
La source de rayons est placée dans de fins tubes implantés temporairement dans le sein. Cette forme de radiothérapie nécessite quelques jours d'hospitalisation.
Approches particulières
Certains types de cancers du sein demandent des approches particulières. Ainsi, le carcinome lobulaire in situ ne fait qu’augmenter le risque de développer ultérieurement un cancer invasif. Le plus souvent, sa découverte ne requiert pas de traitement radiothérapeutique ni même de chirurgie, mais une surveillance attentive.
Effets secondaires de la radiothérapie
Lors du traitement contre le cancer du sein, l'irradiation irrite les tissus sains situés dans la zone traitée et provoque :
  • une atteinte de la peau (semblable à une brûlure légère) ;
  • des démangeaisons ;
  • une peau sèche (les cellules les plus superficielles de la peau se détachent) ;
  • des pigmentations.
Au fil des nombreuses séances de radiothérapie, les patientes peuvent ressentir une fatigue générale qui s’installe progressivement. Parmi les autres effets secondaires, on peut aussi rencontrer un gonflement du sein ou l’apparition, après plusieurs années, d'un réseau de petits vaisseaux sanguins superficiels dilatés (télangiectasies). Une rougeur de la peau (érythème) au niveau des plis peut également se présenter, surtout lorsque le sein est volumineux et affaissé.
Quelques conseils pratiques afin de limiter ces inconvénients :
  • Lavez la région traitée par les rayons à l'eau claire, tiède, et sans savon.
  • Évitez les déodorants, les produits pour la peau, les sparadraps sur la zone à traiter.
  • Appliquez un talc au niveau du creux axillaire (sous les bras) et sous le sein pour assécher ces régions qui transpirent naturellement.
  • Portez des (sous-)vêtements amples et évitez de porter un soutien-gorge.
  • Protégez la peau par une chemisette en coton.
  • Après la fin de la radiothérapie, utilisez des crèmes cosmétiques pour traiter la rougeur, les chatouillements, la sécheresse et la pigmentation de la peau.
3. La chimiothérapie
Contrairement à la chirurgie ou à la radiothérapie qui sont des traitements locaux, la chimiothérapie utilise un ou plusieurs médicaments qui seront diffusés dans l'ensemble de l'organisme. Selon la situation, elle est administrée avant ou, le plus souvent, après la chirurgie.
Quand elle est administrée après la chirurgie, les médecins parlent de chimiothérapie adjuvante. Ce terme signifie que la chimiothérapie est destinée à détruire les cellules cancéreuses présentes dans d’éventuelles micro-métastases indécelables, ou dans des métastases avérées, et qui ne sont pas concernées par les traitements locaux. Le traitement par chimiothérapie commence habituellement au cours du premier mois qui suit la chirurgie.
Effets secondaires de la chimiothérapie
Les médicaments utilisés contre le cancer du sein détruisent les cellules cancéreuses mais également un certain nombre de cellules saines qui ont la propriété de se multiplier rapidement. C'est le cas essentiellement des cellules de la moelle osseuse (la moelle osseuse produit les globules rouges, globules blancs et plaquettes), des cellules qui tapissent les parois du tube digestif et des cellules qui assurent la croissance des cheveux.
Les principaux effets secondaires de la chimiothérapie sont donc :
  • une fatigue générale, souvent liée à une diminution du nombre de globules rouges (anémie) ;
  • une sensibilité plus grande aux infections, liée à une diminution du nombre de globules blancs, pouvant nécessiter la prise d'antibiotiques ;
  • un risque de saignements et d'apparition d'hématomes, lié à la diminution du nombre de plaquettes ;
  • des nausées, des vomissements, une perte de l'appétit, liés à une atteinte des cellules du tube digestif (des médicaments permettent d'atténuer ces symptômes) ;
  • une chute des cheveux (on peut essayer de la prévenir par le port d'un casque réfrigérant).
4. L'hormonothérapie
Tout comme la chimiothérapie, l’hormonothérapie est un traitement adjuvant du cancer du sein qui complète le traitement chirurgical. Elle a pour but de réduire le risque de métastases et diminue aussi le risque ultérieur de nouveau cancer du sein. L'hormonothérapie bloque la production ou l’action de certaines hormones, afin de ralentir ou de stopper la croissance des cellules cancéreuses.
Une tumeur hormonosensible
Tous les cancers du sein ne réagissent pas à l’hormonothérapie. Ce traitement n’est utile que si le cancer est« hormonosensible ». C’est le cas lorsque les cellules cancéreuses présentent à leur surface des récepteurs hormonaux (qui permettent aux hormones de se fixer à la surface des cellules). Ces récepteurs sont assimilés à des serrures dont l'ouverture par la clé adéquate (en l'occurrence une hormone de la classe des œstrogènes) stimule la multiplication des cellules cancéreuses. Des examens en laboratoire permettent de détecter la présence ou non de récepteurs hormonaux à la surface des cellules cancéreuses.
Enfin, une autre technique consiste à supprimer par chirurgie ou radiothérapie externe les organes qui produisent les hormones (les ovaires et les glandes surrénales). Dans le langage médical, cette procédure porte le nom de "castration". 
Effets secondaires de l'hormonothérapie
Les anti-œstrogènes entraînent chez une femme jeune des symptômes caractéristiques de la ménopause:
  • bouffées de chaleur 
  • transpiration abondante 
  • changements brusques de l'humeur 
  • insomnies.

CANCER DU SEIN RÉCIDIVE TRAITEMENT NATUREL 

Par Le 26/12/2019

CANCER DU SEIN RÉCIDIVE TRAITEMENT NATUREL 
La guérison d’un cancer est définie par le temps, c’est une rémission qui dure et un cancer qui ne récidive pas. La rechute, ou récidive, signifie que la maladie qui s’était en quelque sorte « endormie » se « réveille ». « Il ne s’agit pas d’un second cancer, mais de la résurgence d’un cancer déjà traité. Ce qui ne veut pas dire que le traitement initial a été inutile mais insuffisant. La rechute est liée à la persistance de cellules tumorales. » Selon les types de cancer, les éventuelles récidives se produisent dans des délais très variables (plusieurs semaines, des mois ou plus rarement des années après le traitement) et dans diverses localisations.
Cette récidivité du cancer n’est pas non gérable ; c’est dans cet optique que les experts de Dawasanté vous propose une solution naturel à base de plantes pour traiter le cancer de sein. Cliquer sur l’image ci-dessous pour découvrir ce traitement.
Facteurs de risque de récidive
Certaines caractéristiques du cancer renseignent sur les risques qu'a ce cancer de récidiver. On parle alors de facteurs de risque de récidive. Ces facteurs de risque sont déterminants dans le choix du traitement. En fonction de leur présence, les médecins optent pour tel ou tel traitement ou telle ou telle combinaison de traitements.
C'est l'examen clinique et anatomopathologique qui permettent de préciser la plupart de ces facteurs de risque de récidive.
Les principaux facteurs de risque de récidive du cancer du sein sont :
L'âge. Le cancer du sein qui affecte les femmes jeunes tend à être plus agressif, de haut grade et plus avancé au moment du diagnostic avec un risque accru de récidive.
La taille de la tumeur. Le pronostic est meilleur lorsque la tumeur est de petite taille
La présence de cellules cancéreuses dans les ganglions lymphatiques axillaires ou sus-claviculaires. Si le cancer du sein s'est propagé aux ganglions lymphatiques, le risque de récidive est plus grand que si le cancer ne s'y est pas propagé. Le risque augmente avec le nombre de ganglions atteints.
Le type histologique de cancer. Certains types de cancers du sein infiltrant (comme les carcinomes tubuleux, muscinaux, médullaire et papillaire) risquent moins de se propager aux ganglions lymphatiques ; ils engendrent alors un pronostic plus favorable que le carcinome canalaire infiltrant.
Le grade du cancer du sein. Le grade histopronostique d'Elston-Ellis est classé de I à III et repose principalement sur l'apparence des cellules cancéreuses (architecture tumorale) et la vitesse à laquelle elles se développent (activité mitotique).
La présence de signes inflammatoires locaux (rougeur, chaleur, etc).
Le statut des récepteurs hormonaux. Lorsque qu'une tumeur possède des récepteurs à l'œstrogène et à la progestérone, on dit qu'elle est hormonosensible ou RH positive. Les tumeurs RH+ sont souvent de bas grade, donc moins agressives et moins susceptibles de se propager que les tumeurs dont les récepteurs hormonaux sont négatifs (RH-). Ce statut des récepteurs hormonaux (RH+ ou RH-) est d'autant plus important qu'il conditionne à lui seul la possibilité de proposer ou non une hormonothérapie à la patiente. C'est uniquement lorsque les récepteurs sont présents (RH+) qu'une hormonothérapie qui vise à diminuer le risque de récidive est proposée.
Le statut du HER2. Les tumeurs qui surexpriment HER2 (la protéine qui se trouve à la surface des cellules mammaires et qui stimule leur croissance) ont tendance à être des tumeurs de haut grade plus susceptibles de se propager que les tumeurs qui ne surexpriment pas la HER2.

Risque de récidive après la chirurgie et traitements supplémentaires

Après la chirurgie du cancer du sein, votre médecin considérera le risque de réapparition (récidive) du cancer pour décider s’il devrait vous proposer d’autres traitements, qu’on dits alors adjuvants. Plus le risque de récidive est élevé, plus il est probable que l’administration d’un traitement adjuvant aidera à la prévenir.

Niveaux de risque de récidive

Le risque de récidive se base sur les facteurs pronostiques du cancer du sein dont ceux-ci :
  • taille de la tumeur
  • grade de la tumeur
  • statut des récepteurs hormonaux des cellules cancéreuses
  • statut HER2 des cellules cancéreuses
  • propagation du cancer aux ganglions lymphatiques
  • envahissement des , des vaisseaux sanguins ou de tous ces vaisseaux par le cancer
Ces facteurs pronostiques sont classés en 3 niveaux. Les membres de votre équipe de soins se baseront sur le niveau de risque de récidive pour prévoir la probabilité de réapparition du cancer du sein et les aider à décider s’ils doivent vous proposer un traitement adjuvant.

Faible risque de récidive

Le cancer du sein risque peu de récidiver quand tous les énoncés suivants s’appliquent.
  • La tumeur mesure moins de 1 cm de diamètre.
  • Les cellules cancéreuses ont des récepteurs pour l’œstrogène et la progestérone (à récepteurs hormonaux positifs).
  • Le cancer est de grade 1 (bas grade).
  • Le cancer ne s’est pas propagé aux vaisseaux lymphatiques ou aux vaisseaux sanguins du tissu mammaire.

Risque moyen de récidive

Le cancer du sein présente un risque moyen, ou intermédiaire, de récidive quand tous les énoncés suivants s’appliquent.
  • La tumeur mesure jusqu’à 5 cm de diamètre.
  • Les cellules cancéreuses sont à récepteurs hormonaux positifs.
  • Le cancer est de grade 1 (bas grade) ou de grade 2 (grade intermédiaire).
  • Le cancer s’est propagé à seulement 1 à 3 ganglions lymphatiques.
  • Le cancer ne s’est pas propagé aux vaisseaux lymphatiques ou aux vaisseaux sanguins du tissu mammaire.

Risque élevé de récidive

Le cancer du sein présente un risque élevé de récidive quand n’importe lequel des énoncés suivants s’applique.
  • La tumeur mesure plus de 5 cm de diamètre.
  • Les cellules cancéreuses sont triple négatif, ce qui signifie qu’elles n’ont pas de récepteurs pour l’œstrogène ou pour la progestérone et qu’elles ne contiennent pas de copies supplémentaires du gène HER2.
  • La tumeur est de haut grade (grade 3).
  • Le cancer s’est propagé aux vaisseaux lymphatiques ou aux vaisseaux sanguins du tissu mammaire.
  • Le cancer s’est propagé à 4 ganglions lymphatiques ou plus.
  • Le cancer s’est propagé aux muscles du thorax ou à la peau du sein.
  • Le cancer est inflammatoire.
  • Les cellules cancéreuses sont HER2 positives.

Traitements du cancer du sein de stade 4

Par Le 26/12/2019

Traitements du cancer du sein de stade 4

 Le cancer du sein est une tumeur développé aux dépends des cellules glandulaires mammaires ( adénocarcinome). Il existe différents types cellulaires de tumeur dont le plus fréquent est le cancer canalaire (environ 70% des cas). Chez la femme, ce cancer est fréquent, dans 1 cas sur 2 il survient après l'âge de 65 ans et est la 1ère cause de mortalité parmi les cancers gynécologiques. Chez l'homme ce cancer est rare (1% des cancers du sein) mais plus grave car il est souvent de découverte tardive.
- De nombreux facteurs de risque sont identifiés :
-> Prédisposition génétique (entre 5 et 10% des cancers du sein),
-> Hyperestrogénie : c'est un cancer hormonodépendant),
-> Absence de grossesse ou grossesse de survenue tardive (après l'âge de 30 ans),
-> Surpoidsobésité et consommation excessive d'alcool (par hyperestrogénie secondaire),
-> Ménopause tardive ou 1ères règles précoces,
-> Antécédent de mastopathie bénigne,
-> Antécédent de radiothérapie thoracique.
- Le cancer du sein est potentiellement grave car il métastase fréquemment et ce d'autant plus qu'il est évolué.
- Le traitement du cancer du sein dépend du stade d'évolution de la tumeur :
Force est de constater que les experts D’Afrique Santé après maintes recherches ont opté pour la guérison du cancer du sein quel qu’en soit le stade. Il s’agit d’un mélange de graines, de racines et d’écorces d’Afrique qui permettent de prévenir et de guérir du cancer (cancerdu sein, cancer du foi, cancer de la prostate, cancer de la tyroide, cancer du col de l’utérus, cancer du rein) et les maladies cardiovasculaires. Ces plantes sont très peu connues des scientifiques et elles possèdent des qualités extraordinaires contre le cancer. Leur utilisation contre le cancer est bien plus efficace que la chimiothérapie. Cliquez sur l’image ci –dessous pour découvrir ce produit miraculeux :
-> stade I : tumeur localisée uniquement au sein, les ganglions axillaires ne sont pas envahis,
-> stade II : envahissement des ganglions axillaires,
-> stade III : d'autres aires ganglionnaires sont atteintes,
-> stade IV : présence de métastases dans d'autres organes.
En présence d'un carcinome canalaire ou d’un carcinome lobulaire de stade 4, on peut avoir recours aux options de traitement suivantes. Votre équipe de soins vous proposera des traitements en fonction de vos besoins et discutera avec vous afin d’élaborer un plan de traitement.
Au stade 4, le cancer du sein s’est propagé à d’autres parties du corps. On dit aussi que c’est un cancer avancé ou métastatique. Les traitements ne guérissent pas le cancer du sein métastatique, mais ils permettent de très bien le contrôler, parfois pendant de nombreuses années. Les médecins peuvent proposer un traitement jusqu’à ce qu’il cesse d’être efficace, puis en administrer un autre.
Les traitements proposés pour le cancer du sein de stade 4 dépendent du statut des récepteurs hormonaux et du statut HER2 des cellules cancéreuses. Ils dépendent également d’où le cancer s’est propagé, de la présence de symptômes et de votre état de santé global.

Hormonothérapie

On propose une hormonothérapie aux femmes atteintes d’un cancer du sein de stade 4 dont les récepteurs hormonaux sont positifs et qui s’est propagé aux os et aux tissus mous, comme les muscles et la graisse. On l’administre aussi quand le cancer s’est propagé aux organes internes, comme le foie, les poumons ou le cerveau, mais qu’il ne cause pas de symptômes.
Le type d’hormonothérapie reçu varie selon que vous êtes ménopausée ou non. Si vous n’étiez pas en ménopause quand vous avez commencé le traitement, votre équipe de soins peut vous faire des analyses sanguines afin de savoir si vous êtes maintenant ménopausée. Ces analyses permettent de connaître la quantité d’œstrogène et d’hormone folliculostimulante (FSH) dans votre sang. Un faible taux sanguin d’œstrogène et un taux sanguin élevé de FSH indiquent que vous êtes ménopausée.

Hormonothérapie pour les femmes postménopausées

L’hormonothérapie administrée aux femmes postménopausées qui sont atteintes d’un cancer du sein de stade 4 comprend un inhibiteur de l’aromatase tel que le létrozole (Femara), l’anastrozole (Arimidex) ou l’exémestane (Aromasin). Si la femme ne souhaite pas ou ne peut pas prendre un inhibiteur de l’aromatase, on pourrait lui proposer le tamoxifène (Nolvadex, Tamofen).

Hormonothérapie pour les femmes préménopausées

L’hormonothérapie administrée aux femmes préménopausées peut comprendre la suppression ovarienne ou l’inhibition de l’activité ovarienne. Ces traitements empêchent les ovaires de produire de l’œstrogène et provoquent la ménopause. On associe la suppression ovarienne et l’inhibition de l’activité ovarienne à l’un des inhibiteurs de l’aromatase mentionnés ci-dessus. Les femmes préménopausées qui ne souhaitent pas opter pour la suppression ovarienne ou l’inhibition de l’activité ovarienne pourraient recevoir seulement du tamoxifène.

Chimiothérapie

On administre une chimiothérapie pour traiter le cancer du sein de stade 4 dont les récepteurs hormonaux sont négatifs. On la propose également pour un cancer du sein à récepteurs hormonaux positifs qui s’est propagé aux organes internes et qui provoque des symptômes.
Il n’y a pas d’agent chimiothérapeutique ou d’association chimiothérapeutique standard pour le cancer du sein de stade avancé. On administre une chimiothérapie tant que le cancer y réagit et que les effets secondaires ne posent pas de problèmes. Une fois que le cancer ne réagit plus à la chimiothérapie, on peut proposer un médicament différent.
On emploie souvent un seul agent chimiothérapeutique à la fois pour traiter le cancer du sein métastatique puisque l’administration d’un seul médicament engendre moins d’effets secondaires qu’une association d’agents chimiothérapeutiques. On administre une chimiothérapie tant que les effets secondaires ne posent pas de problèmes et que le cancer du sein ne grossit pas.
Les agents chimiothérapeutiques suivants peuvent être administrés seuls :
  • doxorubicine (Adriamycin)
  • doxorubicine liposomale pégylée (Caelyx)
  • paclitaxel (Taxol)
  • nab-paclitaxel (Abraxane)
  • capécitabine (Xeloda)
  • gemcitabine (Gemzar)
  • vinorelbine (Navelbine)
  • cyclophosphamide (Procytox)
  • carboplatine (Paraplatin, Paraplatin AQ)
  • docétaxel (Taxotere)
  • cisplatine (Platinol AQ)
  • épirubicine (Pharmorubicin)
On peut proposer les associations chimiothérapeutiques suivantes pour traiter le cancer du sein de stade 4 :
  • CAF (ou FAC) – cyclophosphamide, doxorubicine et 5-fluorouracil (Adrucil, 5-FU)
  • CEF (ou FEC) – cyclophosphamide, épirubicine et 5-fluorouracil
  • AC – doxorubicine et cyclophosphamide
  • EC – épirubicine et cyclophosphamide
  • docétaxel et capécitabine
  • gemcitabine et paclitaxel
  • gemcitabine et carboplatine

Traitement ciblé

On administre le trastuzumab (Herceptin) pour traiter le cancer du sein de stade 4 qui est HER2 positif. On l’ajoute habituellement à la chimiothérapie. On peut l’administrer seul si vous n’êtes pas assez bien pour recevoir une chimiothérapie. Quand on prend seulement du trastuzumab, on le fait habituellement jusqu’à ce que le cancer du sein recommence à croître.
On peut avoir recours au pertuzumab (Perjeta) pour traiter le cancer du sein métastatique HER2 positif chez les femmes qui n’ont pas reçu de trastuzumab ou de chimiothérapie. On associe le pertuzumab au trastuzumab et au docétaxel (Taxotere). Il est possible que le pertuzumab ne soit pas couvert par tous les régimes provinciaux d’assurance maladie.
On peut associer le palbociclib (Ibrance) à un inhibiteur de l’aromatase chez les femmes postménopausées atteintes d’un cancer du sein de stade 4, HER2 négatif et à récepteurs d’œstrogènes positifs (ER+) qui n’ont pas reçu de trastuzumab ou de chimiothérapie. On peut administrer le palbociclib comme premier traitement du cancer du sein de stade 4.
L’abémaciclib (Verzenio) est administré aux femmes atteintes d’un cancer du sein HER2 négatif à récepteurs hormonaux positifs. On prend cette pilule chaque jour et on peut l’administrer :
  • avec un inhibiteur de l’aromatase chez les femmes postménopausées comme traitement hormonal;
  • avec du fulvestrant (Faslodex) si la maladie évolue après une hormonothérapie;
  • seul si la maladie évolue après une hormonothérapie et au moins 2 protocoles de chimiothérapie.
On peut avoir recours à l’olaparib (Lynparza) pour traiter les femmes atteintes d’un cancer du sein HER2 négatif métastatique qui sont porteuses d’une mutation du gène BRCA et qui ont déjà reçu une chimiothérapie. On prend habituellement l’olaparib par la bouche.

CANCER DU SEIN : TRAITEMENT NATUREL

Par Le 26/12/2019

                                                     CANCER DU SEIN AGRESSIF                                                             
Généralités
        Un cancer du sein est une tumeur maligne qui se développe au niveau du sein. Il existe différents types de cancer du sein selon les cellules à partir desquelles ils se développent. Les cancers du sein les plus fréquents (95 %) sont des adénocarcinomes, c'est-à-dire qui se développent à partir des cellules épithéliales (=carcinome) de la glande mammaire (=adéno). Il existe d'autres types rares de cancer du sein. Les adénocarcinomes naissent le plus souvent à partir des cellules des canaux et plus rarement à partir des cellules des lobules.
      On distingue les cancers in situ et les cancers infiltrants. Un cancer du sein sur cinq présente des caractéristiques particulières qui le rendent très dangereux. Ces tumeurs mammaires spécifiques bénéficient aujourd'hui d'une thérapeutique ciblée. Du diagnostic au traitement, Doctissimo fait le point avec le Pr. Llorca, spécialiste de cette affection.
     Il n'y a pas un seul cancer du sein, mais des cancers du sein. Alors que certaines formes de cette maladie sont traitées avec succès, d'autres sont plus difficiles à combattre. C'est le cas, lorsque les cellules de la tumeur ont à leur surface de trop nombreuses protéines que les médecins appellent HER2. Un cancer du sein HER2 positif est plus agressif et plus susceptible de se propager qu'un cancer du sein HER2 négatif. Il risque également plus de réapparaître après le traitement. Cela signifie qu'un cancer du sein HER2 positif engendre un pronostic moins favorable qu'un cancer du sein HER2 négatif. Un cancer du sein HER2 positif est plus agressif et plus susceptible de se propager qu'un cancer du sein HER2 négatif. Il risque également plus de réapparaître après le traitement. Cela signifie qu'un cancer du sein HER2 positif engendre un pronostic moins favorable qu'un cancer du sein HER2 négatif.

     Il existe différents types de cancer du sein. Chacun diffère par la localisation de la tumeur dans le sein, par les propriétés des cellules cancéreuses et par les symptômes et les signes de la maladie. Le carcinome canalaire invasif, le cancer du sein qui commence dans les canaux lactifères et envahit les tissus environnants, est le type de cancer du sein le plus courant (50 à 75 % de tous les cas). Le carcinome lobulaire invasif, où le cancer commence dans les glandes productrices de lait, est le deuxième plus fréquent (5 à 15% des cas). Bien que les autres types de cancer du sein diagnostiqués soient considérés comme rares, certains peuvent être très agressifs. Cependant , les experts de Dawasanté mèttent a votre disposition un traitement naturel a base de plante médicinale pour soigner définitivement le cancer du sein . Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel

Le cancer inflammatoire du sein est rare (1 à 5 % de tous les cas) et agressif, ce qui signifie qu’il se développe et se propage rapidement. Les cellules cancéreuses bloquent les vaisseaux lymphatiques dans la peau du sein. On l'appelle « inflammatoire » parce que le sein atteint semble enflammé (rouge et gonflé). Le CIS se développe et se propage rapidement et est considéré comme un cancer du sein localement avancé – lorsque les cellules cancéreuses ont envahi les tissus ou les ganglions lymphatiques voisins.
Quels sont les signes ?                     
En plus des signes courants du cancer du sein, un CIS présente un ou plusieurs des signes suivants :
·         Propagation rapide de l'enflure, de la chaleur et de la rougeur affectant 1/3 ou plus du sein. Ces symptômes sont normalement présents sur une période de moins de 6 mois.
·         Aspect « peau d'orange » (peau striée ou capitonnée).
·         Augmentation de taille du sein, avec ou sans masse.
·         Démangeaisons, sensation de brûlure, douleur, et/ou sensibilité mammaire.
·         Changements au mamelon, où il commence à pointer vers l'intérieur (mamelon inversé).
Diagnostic et traitement
       Lors d'un essai clinique, un nouveau traitement contre une forme agressive de cancer du sein a permis d'augmenter de près de 16 mois l'espérance de vie des patientes malades. Une avancée novatrice qui renforce la prise en charge thérapeutique.
Souvent, l'examen clinique et la mammographie ne permettent pas de déceler la présence d'une masse dans le sein des personnes atteintes d’un CIS. Ce qui rend le diagnostic d'un CIS encore plus difficile, c'est que ses symptômes ressemblent à une infection mammaire (mastite). En fait, 35 % des cas de CIS sont métastatiques au moment du diagnostic en raison entre autres d'un retard dans la détection. Comme pour tout autre cancer du sein, plus la détection est précoce, meilleur est le pronostic. Apprendre à connaître les symptômes du CIS est donc essentiel pour une détection précoce.
Pour ces cancers particuliers, le trastuzumab  présente un mode d'action spécifique. Cette protéine est notamment capable de bloquer les fameux récepteurs HER2. Ce médicament a prouvé son utilité dans le cadre de plusieurs études.
Dans une étude américaine menée sur 500 femme 3, l'association d'une chimiothérapie de référence (paclitaxel) et trastuzumab a permis de constater que :
·         Le taux de mortalité après un an passe de 33 % à 22 % ;
·         Une résistance plus importante avec une survie moyenne passant de 20,3 mois à 25,1 mois ;
·         Une réduction du risque de décès de 20 %.
        Des bénéfices sur le temps, sans progression de la maladie, sur la survie globale ont également été constaté avec d'autres médicaments de chimiothérapie (carboplatin, docetaxel ou vinorelbine notamment) 4. Peu d'étude avait jusqu'alors pu apporter la preuve d'un tel bénéfice grâce à l'addition d'un seul composé.
    Alors le trastuzumab est-il un composé miracle ? Oui, pour une minorité de cancers métastatiques cependant, ceux sur exprimant HER2. Un cancer du sein sur cinq est HER2 positif. De plus, l'étude révèle que ce médicament comporte un principal effet secondaire : l'apparition de dysfonctionnements cardiaques en particulier en cas d'association avec d'autres produits anticancéreux comme l'anthracycline et la cyclophosphamide. A l'heure actuelle, ce traitement ciblé est réservé aux cancers du sein présentant des localisations secondaires (cancers métastasés).
   Bien que certains points restent à éclaircir (quelle chimiothérapie associer au trastuzumab pour obtenir les meilleurs résultats ? Quelle est la durée optimale du traitement ? Quels sont les effets secondaires au long cours ?.), ce médicament représente un bénéfice thérapeutique indéniable pour un certain type de cancer du sein particulièrement agressif.
    Des chercheurs sont parvenus à modifier le cancer du sein dit “agressif” afin qu’il réponde mieux aux traitement de chimiothérapie. Un médicament basé sur le principe découvert est actuellement en cours de développement.
   Environ 10 à 15% des cancers du sein diagnostiqués ne répondent pas aux traitements habituels, sont plus agressifs et récidivent plus souvent que les autres. On différencie ainsi les cancers du sein qui répondent aux traitements hormonaux et qui sont sensibles aux hormones, aux cancers du seins insensibles aux hormones, et plus agressifs, qui regroupent notamment les cancers du sein dits “triple négatif” et de type basal.
  C’est sur ce type de cancer du sein que se sont penchés des chercheurs de l’Université de Lund en Suède, dont l’étude, très encourageante, vient d’être publiée dans la revue . L’équipe a en effet découvert un moyen de traiter ces tumeurs du sein agressives, en agissant sur la communication entre les cellules cancéreuses et le tissu conjonctif qui entoure la tumeur. De récents travaux montrent en effet que la communication entre les cellules cancéreuses et les tissus, cellules et vaisseaux qui les traitements et à récidiver.