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CONSÉQUENCES DES MYCOSES VAGINALES : Traitement naturel

Par Le 26/12/2019 0

Dans FERTILITÉ FÉMININE

CONSEQUENCE DES MYCOSES

Une mycose vaginale est facilement identifiable par ses symptômes. Cette infection peut engendrer une démangeaison légère à sévère, mais des brûlures vulvaires et des rougeurs peuvent également apparaître. Lorsqu’une femme est victime d’une mycose vaginale, elle peut avoir des pertes blanches abondantes et épaisses accompagnées d’une odeur désagréableVoici le traitement naturel des experts de Dawasanté contre la mycose vaginale. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel

MYCOSES VAGINALE CONSÉQUENCES : Traitement naturel

 

Les causes de la mycose vaginale peuvent être nombreuses. Un affaiblissement de la flore vaginale peut par exemple engendrer la mycose. Cela pourrait être dû à la prise d’antibiotiques éliminant les bactéries nécessaires pour combattre les infections ou encore un excès de toilette qui tue les défenses immunitaires. La mycose vaginale peut aussi affecter les femmes stressées ou fatiguées.

L’humidité accroît les risques d’infections vaginales, ce qui explique donc qu’une inflammation ou irritation vaginale après un rapport sexuel non lubrifié peut s’aggraver et devenir une mycose. Le port de sous-vêtement serrés et confectionnés avec des matières autres que le coton qui absorbe efficacement l’humidité est donc déconseillée car peut favoriser les infections à levures.

Les troubles hormonaux affectent la défense immunitaire du vagin, le taux d’œstrogènes chez une femme peut donc aussi être source d’une mycose vaginale. Les champignons se nourrissent de sucre, il va donc de soi qu’une consommation excessive d’aliments riches en sucre peut faire apparaître la mycose vaginale. Un déséquilibre vaginal est susceptible de déclencher une mycose. Si la flore vaginale est affaiblie, la barrière protectrice du vagin l'est aussi. La flore vaginale se fragilise en cas de prise d'antibiotiques par exemple, qui tuent les "bonnes bactéries", mais également lors de toilettes intimes excessives.

 C’est ce qui nous amène à parler des conséquences des mycoses

Pour commencer, même si une mycose vaginale n’est généralement pas très grave et se soigne facilement, il est possible qu’elle soit liée à une autre maladie. Pour être certain que des infections sexuellement transmissibles comme l’herpès génital n’accompagnent pas la mycose vaginale, il est toujours recommandé de consulter un spécialiste. Il est à noter que si le partenaire présente également des symptômes de rougeurs sur le pénis après des rapports sexuels, ce dernier devra également suivre un traitement.

Les infections à levures non traitées n’ont pas de conséquences à long terme, telles que la stérilité ou les cicatrices. Ils ont tendance à être inconfortables et peuvent provoquer des décharges et des brûlures, mais ils ne causent pas de dommages permanents.

Toutefois, si vous essayez de devenir enceinte et que vous avez une infection active, il convient de la traiter, car elle peut retarder ou empêcher une grossesse. La raison de ceci n'est pas claire, mais parce qu'une infection à levures affecte le pH des sécrétions vaginales, elle peut rendre le vagin hostile au sperme.

Sur le long terme, les mycoses non traitées peuvent entraîner irritations et autres sensations gênantes au niveau du vagin", précise Megan Quimper, ajoutant qu'il y a peu de chance qu'une mycose non traitée pendant longtemps soit dangereuse mais qu'il existe des risques s'il s'agit en fait d'une MST. Si vous prenez une infection vaginale pour une mycose inoffensive et repoussez ainsi le traitement, il est possible que certains états non traités vous exposent au "développement d'une maladie inflammatoire pelvienne et à l'infertilité", prévient-elle.

 Toutefois à côté des mycoses superficielles retrouvées sur la peau, les mycoses profondes (ou systémiques) se transmettent par le sang. Ce sont principalement des candidoses. Elles sont relativement peu fréquentes dans les pays industrialisés et touchent majoritairement des personnes ayant un système immunitaire affaibli (immunodéprimés) : greffés, malades du SIDA, héroïnomanes.

Elles sont beaucoup plus graves et leurs complications le sont aussi : la diffusion du champignon dans le sang équivaut à une septicémie. Le germe risque alors chez ces personnes immunodéprimées d'entraîner des lésions viscérales tels que des abcès dans le foie, les reins. Ces mycoses profondes sont difficiles à traiter car il existe peu de traitements, ils sont onéreux et souvent toxiques. De plus, pour pouvoir contrôler ce problème infectieux, il faudra au préalable traiter l'abcès.

Entre ces deux catégories de mycoses existe une autre catégorie, a priori bénignes mais qui peuvent se compliquer si comme dans les mycoses profondes, des champignons se retrouvent dans le sang. Ce sont les candidoses autour des ongles, sur les pieds ou les mains, dont l'apparition est très favorisée par l'association entre longs séjours dans l'eau et acidité. Ces mycoses doivent être traitées car elles s'installent souvent sur des plaies, portes d'entrées à la circulation sanguine.

De même, dans les mycoses simples des orteils ( intertrigo), certains cas doivent attirer l'attention. Associée à une petite insuffisance veineuse ou à des pieds gonflés en été, une fissure entre deux orteils peut constituer une porte d'entrée aux bactéries (streptocoques ou staphylocoques). Elle risque alors d'entraîner une infection cutanée de la jambe qui nécessitera un traitement antibiotique par voie générale.

Si les mycoses banales n'entraînent que peu de complications chez les personnes en bonne santé, les diabétiques et les personnes immunodéprimées sont plus à risque car elles ont moins de moyens de défense contre les champignons. A plus forte raison, en cas de mycoses à répétition de type candidoses, il faut savoir s'orienter vers un bilan pour voir s'il n'y a pas de terrain sous-jacent favorable (diabète par exemple).

Dans tous les cas, pour éviter les complications, pas de secret : il ne faut pas laisser traîner une mycose et la soigner le plus tôt possible. C'est aussi le meilleur moyen pour éviter la dissémination du champignon sur et autour de soi.

L’infection vaginale à levures étant une infection fongique qui provoque une irritation, des écoulements et des démangeaisons intenses du vagin et de la vulve - les tissus situés à l'ouverture vaginale. Également appelée candidose vaginale, l’infection vaginale à levure touche jusqu’à 3 femmes sur 4 à un moment donné de leur vie. Beaucoup de femmes connaissent au moins deux épisodes.

Une infection vaginale à levures n'est pas considérée comme une infection sexuellement transmissible. Cependant, il existe un risque accru d'infection vaginale à levures au moment de la première activité sexuelle régulière. Il existe également des preuves que des infections pourraient être liées à un contact bucco-génital (relations sexuelles orales-génitales).

La mycose est sans répercussion grave sur la santé, précise le docteur Khawach-Alissa. Il faut simplement être vigilant pendant la grossesse, la mycose peut être à l'origine d'accouchement prématuré et peut contaminer le bébé. Sur les femmes enceintes, une recherche systématique de Candida a lieu par prélèvement vaginal." 

 
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