Tisane plante naturelle pour soigner l'endométriose

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ENDOMETRIOSE TRAITEMENT NATUREL : Les experts de Dawasanté

Par Le 26/12/2019 0

Dans FERTILITÉ FÉMININE

Longtemps ignorée, l’endométriose, maladie gynécologique complexe, touche pourtant une femme sur dix. Sa prise en charge globale pourrait être améliorée, alors que de plus en plus d’études s’intéressent au potentiel des plantes en la matière. C'est ainsi que les experts de Dawasanté mettent a votre disposition un traitement naturel a base de plante pour soigner l'Endométriose. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel .

Endométriose traitement naturel: les experts de Dawasanté

Alchémille, copaïba et curcumine

En traitement de fond de l’endométriose légère à modérée, le premier intérêt des plantes réside dans leur action au niveau hormonal. En effet, celles étant phytoprogestatives (à l’activité semblable à celle de la progestérone) vont calmer l’hyperœstrogénie pathologique. Il s’agit principalement de l’alchémille (Alchemilla vulgaris) et du gattilier (Vitex agnus-castus), auxquels on associe parfois l’achillée millefeuille (Achillea millefolium). Différentes espèces d’alchémilles ont été étudiées. Chez la ratte, l’alchémille mollis (Alchemilla mollis) et l’alchémille de Perse (Alchemilla persica) ont permis de réduire la formation de kystes et d’endométriomes. Le protocole du Dr Bérengère Arnal, gynécologue et phytothérapeute, s’appuie d’ailleurs sur ces plantes connues par les femmes.

Curcumine

La prise en charge globale de l’endométriose passe aussi par le contrôle du terrain inflammatoire. L’une des racines les plus appropriées ici est le curcuma, et notamment son composant, la curcumine, qui est en outre fortement antioxydant, ce qui contribue à son efficacité. Elle inhibe ainsi la formation de nouveaux vaisseaux sanguins et, ce faisant, la prolifération de cellules utérines indésirables – et même, elle induit leur mort. Chez la ratte, après trois semaines de traitement à la curcumine, on a noté une diminution du volume des tissus endométriaux hors de l’utérus, une baisse de leur croissance et de leur vascularisation. En prime, ce pigment réduit le nombre de cellules d’endométriose par diminution des taux d’œstrogènes.

Des mélanges huileux intéressants

Moins connue, l’huile de copaïba (Copaifera langsdorffii), prise par voie orale, a montré sa capacité à diminuer l’endométriose chez la ratte via des actions anti-inflammatoires, antioxydants et immun modulatrices. Cette huile est aussi à même de provoquer la mort des cellules d’endométriose et de changer leur morphologie. Un autre mélange huileux, réalisé avec de l’huile d’argousier et de millepertuis, a permis (toujours chez l’animal) de diminuer le volume des implants endométriosiques.

 

La brunelles panse vos plaies

 les huiles végétales issues des graines d’onagre ou de bourrache et des pépins de cassis détiennent aussi des propriétés anti-inflammatoires très intéressantes pour la sphère gynécologique. Une mention spéciale pourrait revenir à la brunelle commune (Prunella vulgaris) qui cumule des effets anti-inflammatoires et antiprolifératifs à des propriétés antiœstrogéniques. Ces conclusions devront toutefois être confirmées par des études cliniques chez la femme.

Enfin, il est intéressant d’allonger cette liste prometteuse à l’ail, l’armoise japonaise (Artemisia princeps)la baie d’açai (Euterpe oleracea)la liane du Pérou (Uncaria tomentosa)le chardon-Marie, la courge écarlate (Coccinia cordifolia) et le gattilier chinois (Vitex negundo). Ces plantes ont toutes une action sur les ­cellules d’endométriose.

Dans le cadre de l’accompagnement des femmes atteintes d’endométriose, et avec l’objectif d’atténuer les symptômes et de ralentir la progression de la maladiele Dr Bérengère Arnal, gynécologue-obstétricienne et phytothérapeute à Bordeaux, recommande trois types de mélanges de plantes :

  • Traitement de fond à prendre en continu : mélisse feuille, achillée millefeuille sommité fleurie, alchémille feuille, gattilier feuille et fruit, matricaire capitule (20 g de chaque). Pour compléter : le duo magnésium et vitamine B6, rouage central de la régulation du système hormonal de la femme.
  • Mélange anti-douleur à prendre si besoin durant les règles : mélisse feuille, salsepareille racine, alchémille feuille, gattilier feuille et fruit, grémil plante entière (20 g de chaque).
  • Mélange anti-hémorragique à prendre si besoin pendant les règles : bourse-à-pasteur plante entière, bistorte rhizome, renouée des oiseaux plante entière, plantain feuille (20 g de chaque).

Mode opératoire

Compter 2 c à s. pour un demi-litre d’eau. Porter l’eau à ébullition, verser sur les plantes, couvrir dix minutes puis filtrer à l’aide d’une passoire fine. Doubler les doses sans problème si cela ne suffit pas.

Infusion et teinture de viorne

Il pourra être utile d’employer d’autres plantes qui ciblent la souffrance grâce à leurs propriétés antispasmodiques et/ou sédatives. Sous forme d’infusion ou de teinture, la viorne obier et la viorne à feuilles de prunier soulagent les crampes abdominales et utérines. Avec une action plus marquée, selon des études précliniques, pour la viorne à feuilles de prunier.

Doté de fortes propriétés anti-inflammatoires, le gingembre est également conseillé pour ses vertus antispasmodiques et analgésiques. Dans le cadre d’une étude, 75 étudiantes indiennes ont pris soit un placebo, soit du gingembre durant les trois premiers jours de leurs règles : le gingembre s’est montré plus efficace pour soulager les douleurs gynécologiques.

On pourra aussi se tourner vers des plantes sédatives comme l’eschscholtzia (sous forme de teinture mère) ou le corydalis, une plante chinoise. De son côté la chélidoine, qui contient des alcaloïdes très forts, à la fois analgésiques (comme la morphine), antispasmodiques et relaxants, a une efficacité toute particulière sur les douleurs abdominales (à prendre sur une courte durée toutefois).

Intérêt des toniques utérins

Autre catégorie d’intérêt dans le cadre de la prise en charge de l’endométriose : les toniques utérins. Il s’agit de plantes qui contiennent de grandes quantités de tannins et qui sont par conséquent astringentes. Pour autant leur mécanisme d’action est actuellement inconnu. La rose est un tonique astringent peu connu mais néanmoins potentiellement très intéressant ; on peut en utiliser toutes les parties, notamment la fleur et le fruit, en infusion ou dans l’alimentation.

Calcium et magnésium, les « indispensables »
dans la lutte contre l’endométriose

Ces deux minéraux jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement et l’équilibre de notre organisme. De façon générale, on peut dire que partout où le calcium joue un rôle dans la contraction, le magnésium agit pour faciliter la relaxation. Tous deux participent à de nombreux processus enzymatiques.

Le magnésium est le stabilisateur des différents compartiments cellulaires (noyau, mitochondries etc…), il fixe le calcium et contrôle puis régule son entrée dans la cellule et les liquides intracellulaires. C'est aussi un anti-stress naturel, sa présence est donc essentielle au bon fonctionnement des muscles, des artères et des cellules nerveuses.

Le calcium est, lui, indispensable à la coagulation du sang, à la perméabilité des membranes cellulaires, au maintien de la pression sanguine et aux contractions musculaires. Son action anti-inflammatoire permet de soulager les douleurs liées à l’endométriose.

La formule d’oligo-éléments qui peut tout changer

Pourrait-on traiter l'endométriose avec ces simples nutriments ? C'est la question que s'est posée le laboratoire Nutri Lab qui a mis au point une combinaison de nutriments, en associant les macros et oligo-éléments essentiels qui permettent de combattre les facteurs favorisant l’endométriose. Ce complément a d'abord été testé sur une dizaine de patientes, puis il a fait l'objet d'une étude observationnelle menée par des gynécologues. Au vu des résultats, le laboratoire a lancé en fin d'année dernière, à la manière des grands laboratoires pharmaceutiques, une étude clinique menée au niveau international en double aveugle contre placebo  et rassemblant des gynécologues de renommée internationale. Ces éléments ont semble-t-il été jugés suffisament probants puisque l'ensemble des mutuelles remboursent désormais ce traitement dès lors qu'il a été prescrit par un médecin.

Le protocole Nutri Endo est une synergie globale de tous ces nutriments, qui optimise les critères de biocompatibilité et de biodisponibilité. En effet, prendre un seul de ces oligoéléments ne permet pas de résoudre un problème de santé comme une endométriose. De même, associer de façon aléatoire plusieurs oligo-éléments peut avoir de graves répercussions. Nous savons que les effets de ces derniers varient en fonction de leur combinaison et de leur dilution (notamment, dans le cas de l'endométriose, le cuivre).

Nutri Endo associe ces macros et oligo-éléments essentiels, selon une formulation étudiée et des ratios très précis*, afin de créer une synergie globale qui va optimiser l’apport de ces nutriments, leur synergie et leur assimilation. Ainsi, la combinaison des informations contenues dans chacun de oligo-éléments, délivre à l'organisme des instructions de fonctionnement correct afin de permettre l'autorégulation et de faciliter la communication cellulaire.

 
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