Tisane plante naturelle pour soigner définitivement les kystes ovarien

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KYSTES OVAIRE GAUCHE

Définition

Il s’agit d’une tumeur à composante liquidienne, développée au dépens d’un ovaire, de taille > 30 mm. Un kyste de l’ovaire est le plus souvent de nature bénigne. Les experts de Dawasanté disposent d'un traitement naturel a base de plante pour faire disparaitre définitivement les kystes ovarien sans opération. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel.

Kystes ovaire gauche traitement naturel a base de plante

Il s’agit d’une pathologie fréquente. Environ 5% des femmes développent un kyste de l’ovaire au cours de leur vie.

Classification

Les kystes ovariens sont tout d’abord subdivisés en kystes fonctionnels et en kystes organiques.

  • Les kystes fonctionnels : ces kystes sont les plus fréquents. Ils surviennent chez les femmes en période d’activité génitale. Les kystes fonctionnels sont dus à un « dérèglement hormonal » qui provoque la transformation d’un follicule ou d’un corps jaune physiologique en kyste. Par définition, ils disparaissent spontanément après les règles ou après un traitement médicamenteux hormonal. Un kyste fonctionnel de l’ovaire est un kyste bénin. La survenue de ce type de kyste est favorisée par un traitement inducteur de l’ovulation, par les contraceptions micro progestatives ou par le stérilet au Lévonorgestrel.
  • Les kystes organiques : ces kystes sont développés au dépends de l’épithélium de surface (tumeurs épithéliales de l’ovaire) ; du stroma spécialisé (tumeurs des cordons sexuels) ou des cellules germinales (tumeurs germinales de l’ovaire). Ces tumeurs sont le plus souvent bénignes, mais peuvent être à malignité limitée (tumeur border line de l’ovaire) ou malignes. Environ 5% des kystes organiques découverts avant la ménopause et 15% des kystes organiques découverts après la ménopause sont malins.

Classification des tumeurs organiques de l'ovaire

  • Tumeurs épithéliales de l’ovaire
    • Tumeurs séreuses (qui reproduisent un épithélium tubaire). Elles sont les plus fréquentes et représentent 90 % de l’ensemble des tumeurs ovariennes ;
    • Tumeurs endométrioïdes (qui reproduisent un épithélium endométrial) ;
    • Tumeurs mucineuses (qui reproduisent un épithélium endocervical) ;
    • Tumeurs de Brenner (qui reproduisent un épithélium para-malpighien) ;
    • Tumeurs à cellules claires (qui reproduisent un épithélium urinaire) ;
    • Tumeurs mixtes.
  • Tumeurs du stroma spécialisé Tumeur de la thèque
    • Tumeur de la granulosa ;
    • Tumeur de Sertoli ;
    • Tumeur de Leydig.

Ces tumeurs sont hormono-secrétantes.

  • Tumeurs de cellules germinales
    • Tumeurs issues des cellules d’origine : dysgerminome ;
    • Tumeurs dues à un développement extra-embryonnaire : choriocarcinome, tumeur du sinus endodermique ;
    • Tumeurs dues à un développement embryonnaire : polyembryomes, tératome immature, carcinome embryonnaire ;
    • Tumeurs dues à un développement adulte : tératome mature (kyste dermoïde). Elles sont les plus fréquentes et représentent 95 % de l’ensemble des tumeurs des cellules germinales.

Les tumeurs du tissu conjonctif (sarcomes) et les métastases ovariennes sont plus rares.

Signes cliniques – Symptômes

Les signes cliniques les plus fréquents sont :

  • Pesanteur pelvienne ;
  • Douleur pelvienne chronique ou aigue (lors d’une complication), plutôt unilatérale ;
  • Troubles du cycles menstruel : métrorragies, aménorrhée, dysménorrhée ;
  • Infertilité, stérilité ;
  • Troubles urinaires (par compression de la vessie), constipation (par compression du rectum) ;
  • Augmentation du volume de l’abdomen.

Mais souvent, les kystes ovariens sont découverts fortuitement, lors d’une échographie pelvienne de routine ou effectuée pour un autre motif.

Examen clinique

La palpation de l’abdomen retrouve parfois une masse pelvienne. Le toucher vaginal permet de retrouver une masse latéro-utérine, rénitente, indépendante de l’utérus, parfois prolabée dans le cul de sac de Douglas. Elle peut être plus ou moins volumineuse.

Diagnostic - Examens complémentaires

Echographie pelvienne avec Doppler

L’échographie, effectuée par voie abdominale et/ou par voie vaginale, permet de poser le diagnostic d’un kyste de l’ovaire. C’est l’examen d'imagerie de référence pratiqué en première intention. Elle précise le côté du kyste, sa taille, l’aspect de sa paroi, la présence ou l’absence de cloisons ou de végétations, la présence d’une composante solide ou liquide. Elle recherche la présence d’une ascite (épanchement liquidien intra abdominal).

Le caractère organique d'un kyste est évoqué devant :

  • la présence de végétations intra ou extra kystiques ;
  • un diamètre supérieur à 6 cm ;
  • la présence d’une composante solide ;
  • le caractère multiloculaire ;
  • la présence d’une paroi épaisse ;
  • la présence d’une vascularisation centrale au Doppler.

En cas de masse uniloculaire liquidienne pure de taille < 7 cm, l'échographie est suffisante pour caractériser la masse.

La terminologie échographique du groupe IOTA (International Ovarian Tumor Analysis Group) décrit les signes échographqiues des tumeurs ovariennes présumées bénignes.

Radiographie de l’abdomen sans préparation

Elle permet parfois de retrouver des calcifications pelviennes en cas de kyste dermoïde de l’ovaire.

IRM pelvienne

L’imagerie par résonance magnétique (avec injection de Gadolinium) est indiquée en deuxième intention, en cas de kyste indéterminé ou de taille supérieure à 7 cm de diamètre car l’échographie pelvienne est insuffisante dans ces cas.

Elle permet également d’orienter le diagnostic devant une suspicion d’endométriose pelvienne ou de kyste dermoïde.

Kytse dermoide

IRM pelvienne : Kyste dermoïde ovarien gauche

L’IRM précise le côté du kyste, sa taille, l’aspect de sa paroi, la présence ou l’absence de cloisons ou de végétations, la présence d’une composante solide ou liquide. Elle permet également d’explorer le péritoine, l’épiploon, les aires ganglionnaires et l’atteinte éventuelle des organes de voisinage.

irm kyste endometriosique

IRM pelvienne : Kyste endométriosique ovarien gauche

Marqueurs tumoraux

Le dosage du CA 125, de l’ACE, de l’HCG et de l’α-foeto protéine est parfois demandé afin d’orienter le diagnostic et de permettre une surveillance post thérapeutique.

Diagnostic différentiel

Plusieurs affections peuvent présenter des signes cliniques ressemblant à ceux d’un kyste ovarien et être à l'origine d'une erreur diagnostique :

  • Kyste vestigial (ou paratubaire) ;
  • Grossesse extra-utérine (le test de grossesse est positif) ;
  • Hydrosalpinx ;
  • Fibrome sous-séreux pédiculé ;
  • Faux kyste péritonéal (chez une patiente mutli opérée) ;
  • Anse digestive ;
  • Vessie pleine.

Complications

Torsion de l’ovaire ou de l’annexe

L’ovaire ou l’annexe se retournent sur eux-mêmes formant des tours de spire. La torsion se manifeste par une douleur pelvienne brutale, intense, parfois associée à des nausées ou à des vomissements. Le diagnostic est évoqué par l’examen clinique et par l’échographie avec Doppler, retrouvant un kyste ovarien avec l’interruption de la vascularisation de l’annexe. Il s’agit d’une urgence chirurgicale car un retard de prise en charge risque de provoquer une nécrose avec la perte de l’annexe. L’intervention se fait par coelioscopie et consiste à détordre l’ovaire ou à effectuer une annexectomie (ablation de l’ovaire et de la trompe utérine) en cas de diagnostic tardif avec nécrose.

Hémorragie intra kystique ou hémorragie intra péritonéale

Elle complique essentiellement les kystes fonctionnels. Elle se manifeste par la survenue d’une douleur pelvienne rapidement évolutive. Le diagnostic est évoqué par l’examen clinique et par l’échographie, retrouvant un kyste ovarien d’aspect caractéristique, parfois associé à un épanchement péritonéal. L’hémorragie est le plus souvent spontanément résolutive mais nécessite parfois un traitement chirurgical. L’intervention se fait par coelioscopie et consiste à la coagulation du vaisseau sanguin qui est à l’origine de l’hémorragie.

Rupture du kyste

La rupture se manifeste par une douleur pelvienne brutale, d’intensité modérée, parfois associée à des nausées ou à des vomissements. Le diagnostic est évoqué par l’examen clinique et par l’échographie, retrouvant un kyste ovarien affaissé associé à un épanchement péritonéal abondant.

Compression d’un organe de voisinage

Un volumineux kyste ovarien peut comprimer la vessie et être à l’origine d’une pollakiurie (mictions anormalement fréquentes). Il peut comprimer le rectum et être à l’origine d’une constipation ou de fausses envies d’aller à la selle.

Dégénérescence maligne

C'est la transformation d'un kyste en cancer.

Traitement

Le traitement des kystes fonctionnels est le plus souvent l’abstention thérapeutique (en dehors de la survenue d’une complication). Celui des kystes organiques est le plus souvent chirurgical.

Abstention thérapeutique

Elle peut être envisagée devant la suspicion d’un kyste fonctionnel, sous réserve de la vérification de sa disparition après 3 mois.

Elle peut également s’envisager en cas de forte probabilité de bénignité (kyste uniloculaire, à parois fines, anéchogène, de taille < 10 cm, sans végétations ni cloisons intra kystiques et avec des marqueurs tumoraux négatifs) chez une patiente présentant des risques anesthésiques ou opératoires importants.

En cas de découverte en cours de grossesse, l'expectative est recommandée pour les kystes liquidiens uniloculaires, asymptomatiques, de taille < 6 cm.

Traitement oestro-progestatif

La prescription d'une pilule contraceptive n'a pas démontré une efficacité supérieure à celle de l'abstention thérapeutique. Elle permet en revanche d'éviter une grossesse. Si une contracpetion n'est pas nécessaire, un tel traitement n'est pas recommandé.

Ponction échoguidée

Une ponction évacuatrice écho guidée permet d’effectuer un examen cytologique ainsi que de doser le CA 125 et l’oestradiol dans le liquide aspiré. Elle est pratiquée sous anesthésie locale, au bloc opératoire. Elle n'est pas recommandée. De plus, elle est formellement contre indiquée en cas de suspicion de malignité ; d’un kyste borderline ; d’un kyste dermoïde ou d’un kyste mucineux. Une récidive du kyste après ponction justifie une reprise chirurgicale.

Traitement chirurgical

Un traitement chirurgical est indiqué dans trois cas de figure :

  • Kyste fonctionnel persistant pendant plus de trois mois ;
  • Kyste d’aspect organique ;
  • En urgence, devant la survenue d’une complication aigue (torsion d’annexe, hémorragie interne etc.).

Il est conseillé de vérifier à l’échographie la veille de l’intervention la persistance du kyste, car une disparition au dernier moment d’un kyste d’aspect fonctionnel reste toujours possible et rend l’intervention inutile dans ce cas.

Le chirurgien décide lors de la consultation de la voie d’abord chirurgicale et du geste ou technique qui seront pratiqués.

Coelioscopie

C’est la technique de référence en cas de kyste d’aspect bénin. La coelioscopie correspond à une intervention chirurgicale effectuée sous anesthésie générale. Toute l’intervention se déroule à l’aide de petites incisions pratiquées dans l’abdomen, à travers lesquelles sont introduits une caméra et des instruments de chirurgie. Cette technique permet d’éviter une ouverture classique du ventre avec une cicatrice de plus grande taille. Rarement, une laparoconversion (passage en laparotomie en cours d’intervention) est nécessaire : lorsque le kyste présente un aspect peropératoire suspect ou devant des difficultés techniques.

Laparotomie

En cas de doute quant à la bénignité du kyste ovarien, un examen extemporané est demandé en cours d’intervention. Si la nature « border line » ou maligne est confirmée, le chirurgien adapte le geste chirurgical qui sera habituellement plus élargi. C L'examen extemporané est possible qu’il s’agisse d’une coelioscopie ou d’une laparotomie.

Gestes et techniques opératoires

Kystectomie

Il s’agit de l’ablation du kyste en passant par le plan de clivage séparant la paroi du kyste du reste du parenchyme ovarien (tissu ovarien). La technique de référence est la kystectomie intra péritonéale : le kyste est retiré dans la cavité abdominale puis évacué à l’aide d’un petit sac à travers l'orifice de coelioscopie.. La kystectomie trans péritonéale correspond à l’extériorisation de l’ovaire hors de la cavité abdominale puis l’ablation du kyste et la réintégration de l’ovaire dans l’abdomen.

Ovariectomie

Il s’agit de l’ablation de l’ovaire porteur du kyste. L’ovariectomie est préconisée chez la femme ménopausée ou lorsque le kyste est suspect de malignité. Dans ces cas, elle est souvent bilatérale.

Annexectomie

Il s’agit de l’ablation de l’ovaire porteur du kyste et de la trompe utérine homolatérale. L’annexectomie est préconisée chez la femme ménopausée ou lorsque le kyste est suspect de malignité. Dans ces cas, elle est souvent bilatérale.

Kyste et fertilité

Les kystes endomètriosiques peuvent être retrouvés dans le cadre de l’exploration de la fertilité. Leur ablation est préconisée lorsqu’ils dépassent 3 à 5 cm de diamètre.

Les conséquences d’une kystectomie sur la fertilité se manifestent à deux niveaux :

  • Diminution de la taille du parenchyme (tissu) ovarien et donc de la réserve ovarienne. Une kystectomie doit être la plus économe en parenchyme ovarien chez la femme jeune désirant une grossesse ;
  • La survenue d’adhérences pelviennes post opératoires, pouvant dans de rares cas altérer la fertilité.

Kyste et grossesse

Il est banal de découvrir un kyste du corps jaune (kyste fonctionnel) lors de l’échographie du premier trimestre de la grossesse. Ces kystes disparaissent spontanément. Les marqueurs tumoraux sont inutilisables car ils augmentent systématiquement en cas de grossesse.

Les kystes de l'ovaire touchent 5 % des femmes, souvent en âge de procréer, mais ils peuvent aussi apparaître à la ménopause.

Lorsqu'on vous annonce que vous avez un kyste à l'ovaire, la première question qui vous vient à l'esprit est bien souvent :  « C'est grave, docteur ? »
Un kyste, c'est une grosseur, une tumeur pour les médecins, mais pas de quoi s'inquiéter :  « Une tumeur veut simplement dire que quelque chose a poussé mais, en ce qui concerne les kystes ovariens, cette grosseur est bénigne dans la très grande majorité des cas » 

LES DIFFÉRENTS TYPES DE KYSTES

 Les kystes fonctionnels représentent 90 % des kystes ovariens.  « Ils sont dits fonctionnels car ils sont liés au fonctionnement de l'ovaire » , précise le Pr Lansac. Fréquents chez les femmes qui ne prennent pas la pilule ou sous traitement pour stimuler l'ovulation, ils peuvent aussi apparaître en début de grossesse.

 Les kystes organiques sont plus rares et ne disparaissent pas d'eux-mêmes. Ils peuvent contenir du sang (kystes endométriosiques), des tissus graisseux (kystes dermoïdes), du mucus (kystes mucineux) ou un liquide semblable à de l'eau (kyste séreux).
 Les kystes multiples,  « ou plutôt la multitude de micro-kystes de quelques millimètres, sont, en fait, de gros follicules, situés sur les deux ovaires » , explique le Pr Lansac. Si la présence de ces nombreux microkystes s'accompagne d'un surpoids, de poils inhabituels (sur la lèvre supérieure, les seins ou le ventre), de troubles des règles et/ou d'acné, il s'agit d'un syndrome des ovaires polykystiques, une maladie encore méconnue qui touche pourtant 10 % des femmes. Il se traite par des hormones, si besoin.

QUELS SONT LES SYMPTÔMES D'UN KYSTE OVARIEN ?

Dans 50 % des cas, les kystes sont indolores. Ils sont découverts par hasard, lors d'une échographie de contrôle, prescrite le plus souvent pour des problèmes d'infertilité ou en cas de grossesse. Quand il y a des symptômes, ce sont des douleurs dans le bas du ventre (sensation de gêne, de boule, pressions, tiraillements, pesanteur...). Ils peuvent aussi donner lieu à des troubles urinaires car, s'ils sont trop gros, ils peuvent comprimer la vessie.

D'OÙ VIENNENT-ILS ?

Ils ont souvent une origine hormonale : un follicule trop gros, un corps jaune qui ne régresse pas, des follicules qui restent en surface... les kystes fonctionnels sont dus à un dysfonctionnement hormonal (voir encadré ci-contre), dont la cause reste souvent indéterminée.

Parfois, ils sont liés à une endométriose. En cas d'endométriose, le sang des règles ne peut pas s'échapper et forme des kystes remplis de vieux sang des règles.

Il arrive qu'ils soient inexpliqués. C'est le cas de certains kystes organiques.  « Pourquoi une tumeur apparaît ? Bien souvent, la cause nous échappe » , remarque le Pr Lansac.

 UN KYSTE OVARIEN, C'EST GRAVE, DOCTEUR ?

Non, mais les kystes peuvent entraîner des complications. Comme une torsion de l'ovaire, rare mais extrêmement douloureuse, qui nécessite une hospitalisation immédiate car l'ovaire n'est plus vascularisé et peut se nécroser. Le kyste peut aussi se rompre et entraîner un écoulement de sang dans l'abdomen, provoquant des douleurs.

Il faut toutefois les surveiller, surtout s'ils sont organiques, ne disparaissent pas ou grossissent. Dans de très rares cas, certains kystes peuvent être à la limite entre kyste bénin et cancer. Mais  « on voit beaucoup plus de choses à l'échographie de nos jours, et la marge d'erreur reste infime » , rassure le Pr Lansac. Un suivi échographique tous les six mois peut donc être utile pour surveiller la disparition d'un kyste fonctionnel ou la croissance d'un petit kyste organique.

FAUT-IL OPÉRER ?

En général, non. Les kystes ovariens fonctionnels disparaissent très souvent sans aucun traitement, au bout d'un à trois mois. S'ils réapparaissent, on peut prescrire la pilule pour mettre les ovaires au repos. «  Si le kyste est organique mais petit et non douloureux, on ne fait rien », explique notre spécialiste, qui ajoute qu'on en opère beaucoup moins aujourd'hui. Parce qu'on peut mieux détecter en amont le caractère bénin ou non du kyste et que, lors de l'opération, il y a toujours un risque d'abîmer l'ovaire en enlevant le kyste.

L'opération reste nécessaire dans certains cas, comme la torsion de l'ovaire, si le kyste semble suspect à l'échographie ou encore s'il mesure plus de 6 cm. Une intervention par cœlioscopie peut alors être nécessaire pour retirer le kyste tout en préservant l'ovaire.

Le drilling ovarien : cette opération peut être indiquée, très souvent en dernière intention, en cas d'ovaires polykystiques. Elle consiste à réaliser de petits trous dans l'ovaire pour stimuler l'ovulation.

 Y A-T-IL DES RISQUES POUR LA FERTILITÉ ?

Le plus souvent, non. La plupart des kystes se forment sur un seul ovaire. Dans ce cas, l'autre prend le relais. Les kystes fonctionnels disparaissent le plus souvent d'eux-mêmes. Il suffit donc de patienter jusqu'au cycle suivant pour retrouver des conditions optimales pour une ovulation de bonne qualité.

Mais dans certains cas, oui, surtout si le kyste est lié à une endométriose. Le vieux sang des règles peut alors refluer par les trompes, venir se fixer sur les ovaires et en perturber le bon fonctionnement. En cas d'ovaires polykystiques également, la présence d'une multitude de follicules rend plus épaisse la coque ovarienne et plus difficile l'ovulation. Dans la plupart des cas, une perte de poids et/ou des traitements, (stimulation ovarienne), peuvent suffire à enclencher une grossesse.

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Commentaires

  • José Benicio

    1 José Benicio Le 03/11/2023

    Un ami me présente le Dr Ojegbukhun. Une guérisseuse traditionnelle qui l'a guérie de l'herpès génital HSV-2 alors que le mien était de l'herpès oral HSV-1. Elle m'a raconté comment elle avait commandé le produit à base de plantes du Dr Ojegbukhun qui l'avait envoyé gratuitement après avoir vécu avec le virus de l'herpès pendant des années. Elle a eu ce contact avec un guérisseur sur Internet alors qu'elle cherchait les moyens les plus rapides de se débarrasser de l'herpès, contrairement à moi qui n'ai pas le temps de lire des informations sur la santé sur Internet et de me concentrer uniquement sur le gaspillage de mon argent en médicaments qui ne peuvent pas m'aider à résoudre mon problème. problème. Après m'avoir parlé du guérisseur et du fonctionnement du produit à base de plantes, j'ai commandé le produit contre l'herpès oral en contactant le guérisseur sur WhatsApp +2349044604254 et il a été livré comme commandé. Quelques jours après l'utilisation, je remarque des changements dans toutes mes zones touchées pour montrer à quel point le produit à base de plantes fonctionne puissant, je suis tellement rempli de bonheur après avoir testé négatif pour la deuxième fois, cela devrait être un grand désir pour tous les patients malades, non seulement se concentrer sur les médicaments et les hôpitaux. D'après ma propre expérience, les produits à base de plantes sont les meilleurs pour guérir les maladies. Avec les petites conversations que j'ai eues avec l'herboriste qui a également dit avoir un remède pour des problèmes de santé comme le cancer, la prostate, le VIH, l'asthme, l'hépatite, et bien d'autres encore.

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