POLYPES UTÉRIN TAILLE
Les polypes utérin sont les tumeurs bénignes les plus communes du côlon et du rectum.
La prévalence des polypes est élevée (20 à 50 % de la population selon les études), et augmente avec l’âge, pour atteindre 30 % des sujets de 65 ans.
Les adénomes sont divisés en 3 catégories: tubuleux, tubulo-villeux et villeux. Les tubuleux sont les plus fréquents (75%) et se retrouvent partout dans le colon. Ils peuvent être pédiculés ou sessiles.
Les experts de Dawasanté mettent a votre disposition un traitement naturel a base de plante pour diminuer considérablement la taille de vos polypes utérin jusqu'a sa disparition.
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LEURS CARACTÉRISTIQUES
LA TAILLE DE POLYPES COLIQUES
Elle varie de quelques millimètres à plusieurs centimètres. La taille des polypes permet de définir trois classes de polypes
- Minime (1 à 5 mm de diamètre)
- Petit (6 à 9 mm)
- Grands (≥ 10 mm)
Par définition, sont considérés comme des adénomes avancés en ne tenant compte uniquement de la taille les polypes dont
- Le diamètre est supérieur à 1 cm
- Le diamètre est moins de 1 cm s’ils contiennent au moins 25 % d’aspect villeux, de dysplasies de haut grade ou carcinome.
RÈGLE DES 10%
- 10% de tous les polypes sont adénomateux
- 10% des polypes adénomateux sont > 1cm
- 10% des polypes adénomateux > 1 cm sont cancéreux
LES POLYPES ADENOMATEUX
Ils représentent 10% de tous les polypes du colon. Plus de 90% de ceux-ci sont < 1.5 cm et ont un faible potentiel de malignité. Les polypes adénomateux plus gros (10%) ont un plus grand potentiel de malignité
L'aspect villeux
Les adénomes avec un aspect villeux représentant de 25 à 75 % de la tumeur, sont considérés comme tubulo-villeux. Ils se rencontrent plus fréquemment au niveau du rectum.
Ceux dont l’architecture villeuse représente plus de 75 % sont classés comme les adénomes villeux.
Les polypes villeux présentent le plus grand risque de cancérisation.
Les polypes sessiles
Leur base d'implantation est large et se retrouvent habituellement dans partie proximale du côlon.
Les facteurs suivants sont des signaux d'alarme pouvant indiquer une transformation : la taille de la base d'implantation, l'âge, le tabagisme et l'existence d’antécédents familiaux.
Les polypes pédiculés
Ils ont une base étroite, plus ou moins allongée, comme une queue de cerise.
Leur nombre est variable. Le plus souvent solitaires, ils sont quelque fois multiples. Lorsqu’il existe de nombreux polypes, on parle de polypose colique. Plus rarement leur localisation diffuse ou disséminée est responsable d’une polypose ou adénomatose rectocolique, qui peut comporter plusieurs milliers d’éléments.
Leur localisation
Chez les sujets de moins de 60 ans, ils se retrouvent plus volontiers dans la partie distale du côlon.
Au delà de 60 ans, il siègent plus souvent dans la partie proximale du côlon.
POLYPES & CANCER COLORECTAL
LE PASSAGE
Les cancers colorectaux se développent, majoritairement, à partir d’un polype mais peu d’adénomes deviennent cancéreux au cours de la vie.
La durée de la séquence polype à cancer est très variable. Elle est exceptionnellement inférieure à 5 ans. Sa durée moyenne est de l’ordre de 10 à 15 ans.
LES VOIES DE LA CANCÉROGENÈSE
Deux voies sont décrites, soit une instabilité chromosomale soit à une instabilité microsatellitaire .
L'instabilité chromosomique
C'est la voie de cancérogenèse la plus fréquente (85 %).
Elle résulte essentiellement d’une perte de fonction de plusieurs gènes suppresseurs de tumeur tels que les gènes APC , K-ra s, P53.
L'instabilité microsatellitaire (IMS)
L’autre voie est minoritaire (15 %).
Elle résulte essentiellement de l’inactivation des gènes MMR entraînant une accumulation rapide de mutations d’autres gènes dans la cellule.
Cette forme serait de meilleur pronostic.
LE RISQUE DE CANCÉRISATION
Le risque moyen de présenter des lésions de dysplasie sévère ou d’adénocarcinome in situ est d'environ 13 %. Ce risque dépend de trois facteurs :
- Du caractère déprimé de la surface de l’adénome
- De sa taille
- De l’ethnie du patient