les recettes naturel a base de plante médicinale pour guérir la maladie d'Alzheimer

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ALZHEIMER : TRAITEMENT NATUREL

Par Le 26/12/2019 0

Dans SANTE PARFAITE

ALZHEIMER : TRAITEMENT NATUREL
La maladie d`Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui se caractérise  par la mort des neurones, les cellules du cerveau. Cette mort cellulaire s’amplifie au fur et à mesure que la maladie s’aggrave et peut entraîner la perte de certaines fonctions comme la mémoire, le raisonnement, le langage, le jugement et l’humeur. Pour consulter le traitement naturel des experts de Dawasanté contre la maladie d'alzheimer , Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel
 
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Maladie d'alzheimer : Traitement naturel
 

Les causes

Une combinaison de facteurs propres à chaque individu pourrait être à l'origine de la maladie d'Alzheimer. Parmi les facteurs qui augmentent le risque de développer la maladie d'Alzheimer, notons : l'âge, les facteurs génétiques, les traumatismes crâniens, les maladies cardiovasculaires, l'obésité, le syndrome métabolique, l'hypertension non-controllée et le diabète. Pour comprendre comment ces facteurs opèrent, les chercheurs poursuivent leur recherche à différents niveaux:
  • Les antécédents familiaux. La maladie d'Alzheimer peut se développer chez tous les individus et un seul membre d’une même famille peut être atteint. Par contre, si un membre de la famille est atteint, cela double ou même triple le risque de développer la maladie pour le reste de la famille.
     
  • Le corps humain: pour déterminer si la maladie d’Alzheimer a été causée par un déséquilibre chimique, une accumulation dans le cerveau de substances toxiques pour les neurones (amyloïde, radicaux libres), ou d'un déficit immunitaire.
     
  • Les nouvelles approches thérapeutiques: elles visent à ralentir ou même stopper la progression de la maladie et prevenir la maladie avant même que les symptômes ne fassent leur apparition.

Les symptômes

1. Pertes de mémoire qui nuisent aux activités quotidiennes de la personne
Le plus commun et souvent le premier des symptômes est la perte de la mémoire. Bien que la perte de mémoire puisse être légère au début, elle est plus importante que les petits oublis habituels. Une personne aux prises avec la maladie d'Alzheimer oubliera fréquemment, particulièrement des événements qui se sont produits récemment.

2. Difficultés à exécuter des tâches familières
La personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut avoir de la difficulté à accomplir des tâches familières qu'elle a exécutées toute sa vie, comme préparer un repas. Elle peut avoir de la difficulté à utiliser des appareils ménagers.

3. Problèmes de langage
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut oublier des mots faciles ou les substituer par des mots qui rendront ses phrases difficiles à comprendre. Il arrive également que la personne utilise un mot incorrect de même consonance que le mot correct (par exemple lion à la place de violon).

4. Perte de l’orientation (temps et espace)
Il peut arriver qu'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer se perde dans sa propre rue, ne sachant plus comment elle s'est rendue là ni comment rentrer chez elle. Elle pourra errer pendant plusieurs heures dans son quartier. Il est également possible qu'elle ait de la difficulté à nommer la date du jour.

5. Jugement amoindri
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer pourrait avoir un jugement amoindri et, par exemple, ne pas reconnaître un problème de santé qui nécessite d'être traité ou porter des vêtements chauds en pleine canicule.

6. Difficultés à exécuter une tâche abstraite
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut avoir de grandes difficultés à accomplir certaines tâches abstraites, par exemple, comprendre les chiffres indiqués dans son carnet de chèques ou sur un formulaire d'impôt, planifier un voyage en métro nécessitant une ou plusieurs correspondances.

7. Objets égarés
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer pourrait ranger des objets dans des endroits inappropriés (un fer à repasser dans le congélateur ou une montre dans le sucrier).

8. Changements d'humeur ou de comportement
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut changer d'humeur très rapidement, par exemple, elle pourrait passer du calme aux pleurs et à la colère sans raison apparente.

9. Changements dans la personnalité
La personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut devenir confuse, renfermée et méfiante. Au nombre des changements possibles, on compte aussi l'apathie, la peur et des comportements qui lui sont inhabituels.

10. Perte d’intérêt
Une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer peut devenir très passive et pourra avoir besoin de beaucoup d'encouragements pour prendre part aux activités.

11. Autres symptômes
Voici quelques signes de troubles comportementaux et psychologiques pouvant également être observés :
 
Comportement asocial
Par exemple: le sujet est apathique, reste assis sans rien faire, reste indifférent, a peu d'intérêt envers les autres, coupe tout contact avec ses amis, abandonne ses activités de loisirs.
Apparition d'une familiarité excessive
Tristesse
Comportements bruyants
Instabilité émotionnelle
Euphorie, énergie sans limite
Irascibilité voire agressivité verbale et physique
Épisodes de dépression et d'anxiété (le sujet prend conscience de ses troubles cognitifs)
Désinhibition sociale
Insomnie
Suspicion
Paranoïa
Comportements craintifs
Hallucinations visuelles, auditives (rares)
 Errance
Ralentissement de la vitesse des mouvements

Évolution de la maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer comprend trois phases non précises au cours desquelles les symptômes s’entrecroisent.
 
Facultés mentales
Humeur
Comportement
Physique

Phase 1 :
Initiale (léger)

La personne atteinte peut mener une vie relativement indépendante avec un minimum d’aide
Perte de mémoire à court terme : la personne se souvient encore des faits anciens

Difficulté de concentration ou durée limitée de l’attention
Problème d’orientation

Difficulté à comprendre les instructions
Oubli des dates et du nom des gens
Sautes d’humeur

Périodes dépressives
Apathie (passivité)

Retrait

Nervosité

Anxiété
Léger problème de coordination

Phase 2 :
Intermédiaire (modérée)

Problèmes de mémoire continus

Oublis concernant son histoire personnelle

Incapacité à reconnaître amis et membres de la famille

Désorientation dans le temps et l’espace
Changement de personnalité

Sautes d’humeur fréquentes, confusion, colères

Anxiété, appréhension, tristesse / déception

Méfiance et hostilité
Incapacité à se concentrer

Agressivité

Nervosité (errance, allers et venues incessantes)

Désinhibition

Répétition

Passivité

Fantasme
Assistance requise pour les tâches quotidiennes (habillement, bain, toilette…)

Perturbation de la structure du sommeil

Fluctuation de l'appétit

Difficulté de langage

Difficulté de coordination oculomotrice

Phase 3 :
Avancée (sévère)

Perte de la capacité de se souvenir

Incapacité de traiter l’information

Difficultés graves à s’exprimer

Désorientation importante dans le temps, l’espace et envers les gens
 Retrait possible
Méthodes non verbales pour communiquer : regards, pleurs, grognements…
Périodes de sommeil plus longues et plus fréquentes

Immobilité

Perte de la capacité de parler

Incontinence (perte de fonctions naturelles)

Difficultés à manger et/ou avaler

Incapacité de se laver et s’habiller

Perte de poids
 
Pour prévenir la maladie d’Alzheimer sept principes réduisant le risque ont été présentés lors de l’International Conference on Nutrition and the Brain qui s'est déroulée à Washington les 19 et 20 juillet 2013 :
  • Limiter les acides gras trans
  • Manger surtout des fruits, des légumes et des céréales
  • Veiller à consommer 30 g de noix ou de céréales complètes par jour pour apporter de la vitamine E, un antioxydant associé à un risque réduit de maladie d’Alzheimer
  • Veiller à recevoir 2,4 µg de vitamine B12 par jour (par l’alimentation ou grâce à un complément alimentaire)
  • Eviter les compléments multivitaminés contenant du fer et du cuivre, sauf en cas de prescription médicale. Ces métaux augmentent le stress oxydant
  • Eviter les aliments qui ont été en contact avec des ustensiles de cuisine en aluminium, même si le rôle de l’aluminium dans la maladie reste controversé
  • Faire l'équivalent de 40 minutes de marche 3 fois par semaine.
Par ailleurs ,une étude a été publiée en 2017 par la revue The Lancet fait le point sur les neuf principaux facteurs diminuant le risque de développer la maladie d’Alzheimer ,il s’agit de:
·         Cesser de fumerLa cigarette 
a un effet catastrophique 
sur la vascularisation, y compris cérébrale.
·         Faire de l’exercice. L’activité physique exerce une action ­neuroprotectrice et stimule la croissance de neurones impliqués dans la mémoire.
·         Maintenir son poids santé. Les personnes obèses ont un haut risque de démence, conséquence de l’impact négatif du surpoids sur l’inflammation chronique.
·         Contrôler sa tension artérielle. L’hypertension crée un stress mécanique sur les vaisseaux sanguins qui augmente le risque de neurodégénérescence.
·         Contrôler sa glycémie. Les personnes diabétiques sont à plus haut risque de démence, car l’hyperglycémie chronique est très toxique pour les cellules, incluant les neurones.
·         Traiter sa dépression. La dépression affecte les taux de plusieurs hormones ainsi que la structure de certaines parties du cerveau (hippocampe).
·         Maintenir son réseau social. L’isolement social et la solitude sont d’importants facteurs de risque d’hypertension, de dépression et de perte cognitive accélérée.
·         Continuer d’apprendre. L’éducation permet de créer ce qu’on appelle une « réserve cognitive » qui maintient les fonctions cérébrales en dépit d’une détérioration des neurones.
·         S’assurer de bien entendre. Il existe une forte corrélation entre surdité et risque de démence.
Régime méditerranéeen, cacao et probiotiques
En 2013, une étude publiée dans Neurology et s’appuyant sur une cohorte de 17 478 personnes avait conclu à l’efficacité du régime méditerranéen pour réduire de 20 % la baisse des facultés cognitives.
D’autres études se sont intéressées aux flavanols contenus dans le cacao : des chercheurs de l’université Colombia, à New York, ont montré que, chez des sujets entre 50 et 70 ans, la prise d’une boisson à forte teneur en flavanols (900 mg) pendant trois mois augmente le flux sanguin d’une structure cérébrale impliquée dans la mémorisation (le gyrus denté) ainsi que les tests cognitifs. Dans cet article, paru dans la revue Nature Neuroscience, l’auteur déclare qu’un participant à l’étude, doté de la mémoire d’une personne de 60 ans, a récupéré celle d’une personne de 30 à 40 ans après trois mois de flavanols !

Selon une étude américaine réalisée sur des rongeurs, parue le jeudi 22 juin 2017, consommer de l’huile d’olive extra-vierge serait bénéfique pour les personnes atteintes d’Alzheimer, car elle permettrait de minimiser la dégénérescence cérébrale.

Des scientifiques de la Lewis Katz School of Medicine de l’université de Temple aux États-Unis (LKSOM) ont réalisé une étude sur l’impact de la consommation quotidienne d’huile d’olive extra-vierge, sur des rongeurs génétiquement modifiés pour fabriquer des plaques bêta-amyloïdes dans leur cerveau, qui se rapprocheraient de celles retrouvées chez des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer. Selon les résultats, ils ont remarqué que cette huile aux propriétés anti-inflammatoires, très utilisée dans les régimes méditerranéens, diminuait la formation de plaques bêta-amyloïdes et de fibrilles qui déstabilisent le fonctionnement neurologique, et préservait l’apprentissage et la mémoire.

Selon une étude menée par l’Université de Malaisie, consommer des champignons pourrait retarder ou tout du moins, prévenir le risque de développer une maladie neurodégénérative liée au vieillissement, et notamment la maladie d’Alzheimer et la démence.

Des chercheurs ont pu constater que les champignons stimulent la production du facteur de croissance nerveuse (NGF). Il s’agit d’une molécule qui joue sur la multiplication des cellules de l’organisme, notamment celles qui sont impliquées dans la croissance des nerfs dans le cerveau, et qui protègent contre les stimuli neurotoxiques comme l’inflammation.
Pour l’enquête, ce sont 11 variétés de champignons comestibles qui ont été analysées. Toutes les espèces testées ont favorisé la régénération nerveuse périphérique, qui relie la moelle épinière et le cerveau, des rats qui ont servi à l’étude.
En conclusion, les champignons pourraient jouer un rôle protecteur pour les neurones, contre les substances chimiques qui engendrent la mort cellulaire. Ils pourraient également réduire ou retarder le développement de la neurodégénérescence liée à l’âge.
Ce sont, selon les chiffres donnés par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 47,5 millions de personnes qui souffrent de démences dans le monde.
 Cependant certaines plantes médicinales pourraient être utiles aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'usage thérapeutique de la mélisse, de la sauge, du ginkgo biloba ainsi que de deux préparations de la pharmacopée chinoise permettrait de réduire les symptômes de cette maladie.
 
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