Meilleurs plantes d'Afrique pour soigner l'endométriose et vite tomber enceinte

Première Boutique de Phytothérapie Tel : +228 96336002 Votre Santé, Notre Priorité. Soyez sans crainte avec nous. LIVRAISON GRATUITE PARTOUT DANS LE MONDE.

ENDOMÉTRIOSE RÉGIME TRAITEMENT : Traitement naturel

Par Le 26/12/2019 0

Dans FERTILITÉ FÉMININE

ENDOMÉTRIOSE REGIME TRAITEMENT

L'endométriose est une maladie gynécologique qui touche 1 femme sur 10. Elle se caractérise par le développement, hors de la cavité utérine, de tissu semblable à celui de la muqueuse de l'utérus (appelée endomètre). Elle touche potentiellement toutes les femmes réglées.

Un des moyens de défense de l'organisme quand il subit une agression est de déclencher une inflammation aiguë dont le premier symptôme caractéristique est la douleur.Cependant , les experts de Dawasanté mettent a votre disposition un traitement naturel a base de plante pour soigner votre endométriose et vous permettre de vite concevoir. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel .

Endométriose régime : Traitement naturel

L'inflammation est dans ce cas la conséquence d'une attaque envers l'organisme. Dans le cas d'une inflammation chronique, l'inflammation constitue une maladie en soi, pouvant se déclarer dans n'importe quel organe du corps et qui est à l'origine de pathologies comme l'endométriose.

Qu'est-ce que l'endométriose ?

 

L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique qui se caractérise par de fortes douleurs et par des saignements en dehors de l'utérus pendant la période des règles. Ces saignements vont être à l'origine de l'inflammation. Plus le tissu endométrial se répand dans d'autres organes, plus l'inflammation se propage. La complexité de cette maladie est qu'elle est multifactorielle. Mais s'il est impossible d'en connaître les causes précises, les facteurs qui l'entretiennent sont eux connus. Ils sont présents partout, et constituent parfois le quotidien des personnes touchées, alimentant l'inflammation. De par sa situation, le système digestif, et plus particulièrement les intestins, sont fréquemment touchés par cette inflammation. Or, certains aliments peuvent contribuer à l'inflammation, ils sont dits"pro-inflammatoires", alors que d'autres peuvent au contraire la calmer.

Les aliments à éviter et ceux à adopter pour mieux gérer la maladie

 

A éviter

Les aliments riches en graisses saturées comme le beurre, la crème, le fromage, la viande rouge, la charcuterie et les sucreries car ils contiennent des composants pro-inflammatoires.
Les aliments contenant des additifs (E ) dont une grande part est classée comme cancérigène.
Les aliments ultra transformés contiennent des sucres raffinés, du sel en excès, des graisses saturées, des additifs, des conservateurs, des colorants, des exhausteurs de goût et des ingrédients de mauvaise qualité, ils n'apportent aucun nutriment alors qu'ils sont souvent à forte densité calorique, ce sont des calories"vides". Dans cette catégorie on retrouve tous les aliments industriels (la pâte à tartiner, les céréales du petit déjeuner, les viennoiseries, les gâteaux, les bonbons, les plats tout prêts comme les quiches, les pizzas, le fast-food, etc ).
Le gluten car il contribue à l'hyper perméabilité intestinale, qui laisser passer des toxines dans le sang.

A adopter

Il va falloir apporter à votre corps des aliments riches en propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Les aliments d'origine végétale devraient constituer la majeure partie de l'alimentation.

Pour faire le plein d'omégas 3 :

  • Les oléagineux (amandes, noix, noisettes), 30g par jour.
  • Les graines de chanvre, les graines de chia, 15g par jour.
  • Les poissons gras comme les sardines, le hareng ou le maquereau, 2 fois par semaine.
  • Les huiles végétales comme l'huile de chanvre ou de cameline, une cuillère à soupe par jour.

Pour faire le plein de vitamines :

  • Entre 1 à 3 fruits par jour.
  • Au moins 400g de légumes quotidiennement. Privilégiez les produits biologiques pour éviter d'apporter des toxines à son corps (résidus de pesticides et autres substances chimiques).
  • Si vous ne pouvez pas vous passer de produits laitiers, ceux faibles en gras et en lactose peuvent être conservés, comme les yaourts. Ils sont à choisir d'origine biologique uniquement et de chèvre ou de brebis.

Bien que l'alimentation anti-inflammatoire ne puisse à elle seule résorber une inflammation chronique, elle n'en est pas moins une alliée pour réguler la maladie et surtout pour éviter une aggravation des symptômes.

Bien choisir ses graisses alimentaires

Plusieurs études ont montré une relation entre certaines graisses et l’incidence de l’endométriose ou la sévérité des symptômes . Les oméga-3 apparaissent comme protecteurs tandis que les oméga-6 devraient être diminués. Par ailleurs il faut faire attention aux acides gras trans.
Une étude menée en 2010 sur 71 000 femmes a montré que les femmes qui ont les apports les plus importants en acides gras oméga-3 ont 22% de risque en moins de développer une endométriose. Au contraire une alimentation riche en acides gras trans augmenterait le risque de 48%. Enfin, les études montrent que les graisses animales augmenteraient le risque d’endométriose. 

Par ailleurs, les résultats des études suggèrent que les apports en oméga-6 – qui ont une action pro-inflammatoire lorsqu’ils sont en excès par rapport aux oméga-3 – doivent être diminués. Augmenter les apports en oméga-3 permet de diminuer la production des prostaglandines pro-inflammatoires issus des oméga-6 donc diminuer l’inflammation et vraisemblablement la douleur. Plusieurs études montrent que diminuer le ratio oméga-6/oméga-3 réduit le risque d’endométriose et/ou la sévérité des symptômes . Une alimentation riche en oméga-3 pourrait donc contribuer à réduire le risque de développer l’endométriose voire même faire régresser la maladie.

En pratique

Le ratio oméga-6/oméga-3 doit être idéalement compris entre 1/1 et 5/1. Pour l’atteindre il faut diminuer les oméga-6 (huile de tournesol, de pépins de raisin, d’arachide…) et augmenter les oméga-3. Les meilleures sources d’oméga-3 sont les poissons gras tels que saumon, sardine, maquereau, hareng, truite. Pour les végétariens/végétaliens, il convient d'augmenter les apports en aliments précurseurs comme les noix, les graines de lin, les huiles végétales riches en acide alpha-linolénique. 
Côté acides gras trans, les industriels ont fait de vrais progrès ces dernières années mais il reste encore des produits avec des huiles hydrogénées ou partiellement hydrogénées qu’il vaut mieux éviter.

Limiter la viande rouge

Une consommation élevée de viande rouge augmenterait le risque d’endométriose. Elle doit donc être évitée, tout comme la charcuterie. 
Les femmes qui mangent 7 portions de viande rouge par semaine ont deux fois plus de risque de souffrir d’endométriose que les femmes qui en mangent moins de 3 par semaine selon une étude italienne. La même étude rapporte que les femmes qui mangent du jambon 3 fois par semaine augmente de 80% leur risque d’endométriose par rapport à celles qui en mangent moins d’une fois par semaine. 
Parmi les explications possibles, la teneur en fer de la viande rouge. Des chercheurs montrent en effet, l’implication du fer dans l’endométriose. Par ailleurs, une consommation excessive de viande rouge provoque à la fois une inflammation et du stress oxydant, d’autant plus si elle est consommée grillée.

Une  étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology en juin 2018 vient confirmer ces résultats. Les chercheurs ont analysé les habitudes alimentaires de 81 908 participantes (Nurses’ Health Study II) suivies pendant 22 ans. Durant cette période, 3 800 cas d’endométriose ont été diagnostiqués. Les résultats montrent que les femmes qui consomment plus de 2 portions de viande rouge par jour ont 56% de risques en plus de souffrir d’endométriose par rapport à celles qui ne mangent pas plus d’une fois par semaine de la viande rouge. Cette association était plus forte avec les viandes rouges non transformées. Par contre, les chercheurs n’ont pas trouvé d’impact de la consommation de volaille, de poisson, de crustacés et d’œufs sur le risque d’endométriose. Les résultats des chercheurs confirment aussi que la présence de fer dans la viande rouge explique en partie l’augmentation du risque d’endométriose chez femmes qui consomment beaucoup de viande. 

En pratique

Limitez, voire évitez, la consommation de viande rouge. Si vous en mangez un peu, ne la faites pas trop cuire ni griller, les produits de glycation formés lors de ces cuissons à hautes températures augmente stress oxydant et inflammation. 

Plus de conseils dans : La meilleure façon de manger de la viande (abonnés)

Manger beaucoup de légumes et de fruits frais

En regroupant les résultats de deux études cas-contrôle impliquant plus de 1000 femmes au total, des chercheurs italiens ont montré que celles qui consomment le plus de légumes verts et de fruits frais ont un risque significativement plus faible de souffrir d’endométriose . 
Les légumes verts sont particulièrement riches en folates, méthionine et vitamine B6 des nutriments qui peuvent influencer l’expression de certains gènes, la méthylation de l’ADN et prévenir les altérations épigénétiques. Tous ces phénomènes pourraient être impliqués dans l’endométriose . 
Dans une étude parue en 2018, les chercheurs ont utilisé les données concernant 70 835 femmes appartenant à la Nurses’ Health Study II (8). Leurs résultats montrent l’effet bénéfique d’une consommation élevée de fruits, particulièrement d’agrumes, sur le risque d’endométriose. En effet, les femmes qui consomment au moins une portion d’agrumes par jour ont 22% de risque en moins de souffrir d’endométriose, par rapport aux femmes qui en consomment moins d’une portion par semaine. L’effet bénéfique des agrumes s’expliquerait par leur teneur élevée en β-cryptoxanthine, un puissant antioxydant et un précurseur de la vitamine A. 
Les données obtenues sont cependant variables en fonction des études. 

En pratique

Mettez les légumes verts à l’honneur (épinards, haricots verts, brocoli, salades, blettes…), au moins une fois par jour, et mangez des fruits frais en privilégiant pamplemousse, orange, clémentines. Pour profiter au maximum de leurs bienfaits, les fruits et légumes doivent de préférence être choisis bio. 

Eviter le gluten ?

Une petite étude menée sur 207 femmes souffrant d’une endométriose sévère rapporte qu’après 12 mois d’une alimentation sans gluten, 75% des femmes ont remarqué une amélioration de leurs symptômes, notamment une diminution de la douleur. Mais il y a trop peu d’études sur l’effet d’une alimentation sans gluten sur l’endométriose pour pouvoir en tirer de quelconques conclusions.
Il existe cependant plusieurs études qui se sont intéressées au lien potentiel entre endométriose et maladie cœliaque. Ces deux maladies partagent en effet quelques points communs comme l’implication du stress oxydant et de l’inflammation. La fréquence de la maladie cœliaque serait aussi plus importante chez les femmes qui souffrent d’endométriose . Une étude menée sur 11 000 femmes montre que le fait d’être atteinte de la maladie cœliaque augmente de 39% le risque d’endométriose . 

En pratique

Les preuves scientifiques manquent sur l’efficacité d’une alimentation sans gluten pour améliorer les symptômes de l’endométriose. Mais des témoignages de femmes rapportent que pour elles, passer au sans gluten a été efficace. Vous pouvez faire votre propre expérience et éliminer le gluten pendant un mois et voir si vos symptômes s’améliorent. 

Le cas du soja
Quelques études ont été menées pour évaluer l’effet de la consommation de soja sur l’endométriose. Des chercheurs japonais ont montré dans une étude menée sur 138 femmes que celles qui ont les niveaux les plus élevés de génistéine et daidzéine – les isoflavones du soja – dans les urines ont un risque plus faible de souffrir d’endométriose à un stade avancé. Une autre étude menée sur des rats montre que les isoflavones de soja peuvent faire régresser l’endométriose grâce à leur rôle de modulateurs hormonaux . Dans une autre étude, des souris atteintes d’endométriose ont reçu pendant 14 jours des doses variables (50 à 500 mg/jour) de génistéine . Les chercheurs ont remarqué que les lésions d’endométriose diminuaient et ce, quelle que soit la dose de génistéine reçue. La génistéine est donc capable d’inhiber la prolifération ou de provoquer l’apoptose des cellules impliquées dans l’endométriose. Pour l’instant, les études sont peu nombreuses et ne permettent pas de conclure quant à l’effet du soja chez les femmes qui souffrent d’endométriose. 

 

endométriose profonde nodule endometriose endométriose consequences endométriose péritonéale endometriose state 4 endométriose traitement naturel endométriose ventre gonflé douleur après cœlioscopie endometriose chirurgie endométriose pilule endométriose

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

Anti-spam