racines, tisanes, plantes naturelle pour traiter le cancer de la prostate

Première Boutique de Phytothérapie Tel : +228 96336002 Votre Santé, Notre Priorité. Soyez sans crainte avec nous. LIVRAISON GRATUITE PARTOUT DANS LE MONDE.

CANCER DE LA PROSTATE ET RADIOTHÉRAPIE

Par Le 26/12/2019 0

Dans FERTILITÉ MASCULINE

CANCER DE LA PROSTATE ET RADIOTHERAPIE

Généralités

       Le cancer de la prostate est un cancer fréquent touchant la prostate, une glande de l'appareil reproducteur de l'homme. Le cancer se développe à partir des tissus de la prostate quand des cellules y mutent et se multiplient de façon incontrôlée. Celles-ci peuvent ensuite s'étendre (se métastaser) en migrant de la prostate jusqu'à d'autres parties du corps, particulièrement les os et les ganglions lymphatiques du pelvis.

     Le cancer malin de la prostate survient indépendamment de l'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), ou adénome prostatique. C'est dans l'immense majorité des cas un adénocarcinome, surtout de type acinaire. Cependant , les experts de Dawasanté disposent d'un traitement naturel a base de plante d'Afrique pour soigner définitivement le cancer de la prostate et les effets de la radiothérapie. Cliquer sur l'image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel

CANCER DE LA PROSTATE ET RADIOTHÉRAPIE

Nous livrons partout dans le monde. 

Pour plus d'informations, vous pouvez contacter nos experts au +229 51374202 en ligne directe ou par WhatsApp au même numéro.

     Le cancer malin de la prostate peut provoquer notamment des douleurs, des difficultés à uriner et des dysfonctionnements érectiles. Les symptômes ayant pour origine un adénocarcinome de la prostate signalent souvent un stade avancé de la maladie. D'autres maladies de la prostate provoquent les mêmes symptômes : les douleurs pelviennes en cas de prostatite et les difficultés à uriner en cas d'HBP.

    Les traitements les plus fréquents sont la chirurgie (prostatectomie radicale), la radiothérapie (radiothérapie externe et curiethérapie, notamment) et l'hormonothérapie. La chimiothérapie n’est utilisée que dans les formes évoluées. Ici nous allons nous exprimer sur la radiothérapie. Toute fois  si vous ressentez le besoin de vous faire analyser et soigner, le centre Dawabio est à votre disposition pour vous faire suivre un traitement  digne du nom, naturel bien sûr.

Causes, facteurs de risque

Ses causes sont encore mal comprises, et pourraient souvent être multiples :

  • une prédisposition génétique et la responsabilité de certains gènes semblent possible, mais faiblement corrélées avec la survenue de la maladie.
    En particulier, une mutation sur le chromosome 8 pourrait expliquer la plus grande fréquence de ce cancer chez les Noirs américains ;
  • Un lien avec la testostérone biodisponible semble fréquent. Charles Brenton Huggins (inventeur de l'hormonothérapie du cancer) a d'abord (à partir des années 1940 et sur la base d'études du cancer métastasique de la prostate) conclu que ce cancer était induit par un excès de testostérone (ou facilité par cette hormone). Mais plus récemment (années 2010) les données disponibles laissent penser qu'une cause plus fréquente est un déficit en testostérone. Un faible taux de testostérone avant l'opération de ce cancer a été liée en 2010 à un risque accru d'agressivité de la tumeur
  • la taille adulte plus élevée est corrélée avec un risque plus élevé de cancer de la prostate ;
  • Des facteurs nutritionnels ont été évoqués. Certains aliments semblent augmenter le risque de cancer de la prostate ;
    D'après plusieurs études, la consommation de lait de vache augmenterait ce risque après 50 ans mais d'autres études jugent que ce lien n'est pas significatif ou serait faible. L'augmentation du risque semble lié à l'augmentation du taux d'IGF-1 dans le sang, lui-même corrélé à la consommation de lait. Certaines études suggèrent que la caséine pourrait aussi avoir un effet sur le cancer de la prostate. Un apport alimentaire excessif en acide phytanique venant des laitages, et notamment du beurre a aussi été relié (2012) à un risque élevé de cancer de la prostate; pour ces raisons, au nom du principe de précaution, la consommation de produits laitiers n'est plus conseillée aux hommes. La surconsommation de calcium semble être un facteur de risque établi. Plusieurs études scientifiques retiennent le lait comme facteur de risque pour les cancers hormono-dépendants comme ceux de la prostate, des ovaires et du sein.
    D'autres aliments semblent jouer un rôle protecteur ; les lycopènes par exemple, les fruits secs, les légumineuses;
  • un effet perturbateur endocrinien de certains produits (pesticides notamment) pourrait être en cause ;
  • l'exposition aux pesticides est un facteur possible, car les populations agricoles sont sur-représentées pour ce cancer, qui reste cependant étiologiquement mal compris, et qui nécessite donc encore des recherches, notamment sur les relations et interactions gène–environnement. Le cadmium très présent dans les engrais phosphatés pourrait aussi être en cause;
  • une infection virale pourrait être parfois impliquée (à moins qu'elle ne soit favorisée par le processus de cancérisation ou une baisse de l'immunité ayant également favorisé le cancer) ;
    le rétrovirus XMRV (Xenotropic MLV - Related Virus, variant du MLV (Virus de la leucémie murine responsable d'une leucémie chez la souris) et pouvant infecter l'homme, a été détecté en 2006 dans certaines tumeurs de la prostate. Il appartient au genre des gammarétrovirus déjà associé à des leucémies et certains cancers chez des rongeurs, félins et primates.
    Selon une étude américaine publiée en 2010 et ayant porté sur 334 échantillons de tissus de prostate humaine, des protéines semblant provenir de ce virus ont été trouvées dans 23 % des tissus cancéreux (contre 4 % des échantillons « sains »). Et ils étaient plus présents dans les tumeurs les plus agressives. Reste à identifier si le virus est la cause ou une des causes de ces cancers ou s'il infecte la prostate des malades parce que ceux-ci présentent une immunité préalablement affaiblie. S'il est en cause, on pourra disposer de biomarqueurs supplémentaires pour ce cancer, voire de nouvelles pistes de prévention ;
  • Le travail de nuit est aussi évoqué (comme pour d'autres cancers dits « hormonaux »).
  • selon une étude parue en 2004, des éjaculations plus fréquentes seraient associées à une réduction du risque de cancer de la prostate.

Quels sont ses  symptômes et comment le détecte –on ?

Ce cancer est le plus souvent asymptomatique, c'est-à-dire qu'il est découvert alors qu'il n'entraîne aucune manifestation lui étant propre. Il est le plus souvent découvert :

  • lors d'analyses sanguines incluant l'étude du PSA (antigène spécifique de la prostate, dont la valeur prédictive et l'utilisation, sans bénéfice prouvé en termes de santé publique, ont récemment été remises en cause). Le PSA est une protéine normalement sécrétée par les cellules prostatiques, mais une cellule cancéreuse en sécrète 10 fois plus qu'une cellule normale. Cette propriété a suscité de nombreux espoirs en termes de dépistage. Le taux sanguin de PSA peut toutefois être augmenté par de très nombreux autres facteurs (le volume prostatique, les infections et/ou inflammations, des contraintes mécaniques (toucher rectal, autre)...) ou diminué par certains traitements de l'hypertrophie bénigne (finastéride). Les seuils de significativité sont donc difficiles à établir. Il est admis, toutefois, qu'un taux de PSA compris entre 4 et 10 ng/ml est douteux, mais qu'il est nettement significatif au-delà. Certains auteurs ont proposé de rapporter le taux au poids effectif de la prostate, ou d'apprécier le rapport PSA libre / PSA total, ou encore la cinétique de croissance du taux sur 2 ans.
    Marqueur encore incertain pour le dépistage, le taux de PSA est en revanche un indicateur essentiel pour le suivi et le traitement des cancers déclarés ;
  • lors d'un toucher rectal ; réalisé à titre systématique, ou en raison de symptômes liés à une autre maladie (en particulier l'hypertrophie bénigne de la prostate) ;
  • fortuitement, sur des pièces de résection prostatique lors du traitement chirurgical de l'adénome prostatique.

Lorsqu'il est symptomatique, le cancer de la prostate est le plus souvent à un stade avancé. Il peut entraîner :

La radiothérapie fait partie des traitements proposés classiquement dans le cancer de la Prostate

Radiothérapie externe ou interne ?

Une deuxième option dans le traitement des cancers de la prostate localisés est la radiothérapie.

Deux types de radiothérapie permettent le traitement de cette pathologie, la radiothérapie externe et la radiothérapie interne, également nommée curiethérapie ou brachythérapie.

La radiothérapie externe correspond à une radiothérapie classique : des rayonnements émanant d’une source externe sont dirigés de manière focalisée sur la tumeur du patient. La dose de rayons nécessaire à la destruction de la tumeur est délivrée au cours de plusieurs séances, souvent cinq par semaines pendant un à deux mois.

La radiothérapie interne se fonde sur l’implantation d’aiguilles radioactives dans la prostate. La mise en place des aiguilles est réalisée au cours d’une intervention chirurgicale, sous anesthésie générale. Cette méthode a l’avantage d’épargner les organes voisins de la prostate puisque les rayonnements radioactifs sont délivrés directement dans la glande prostatique.

Les différentes complications de la radiothérapie sont décrites dans le chapitre consacré à la radiothérapie et accessible dans la rubrique traitements elle même dans la partie santé du site.

La radiothérapie externe et la curiethérapie font partie des modalités thérapeutiques potentiellement curatives proposées dans le traitement du cancer de la prostate non métastatique. Peu de données ont été publiées sur leur prise en charge et leur prévention est primordiale. Une évaluation aussi précise que possible du rapport risque/bénéfice est nécessaire avant toute décision thérapeutique et une information claire et objective du patient, doit être faite incluant le risque de morbidité tardive et l'impact éventuel des effets secondaires tardifs sur la qualité de vie.

I. COMPLICATIONS DIGESTIVES DE LA RADIOTHÉRAPIE EXTERNE

Les effets secondaires digestifs immédiats pendant l'irradiation sont très fréquents et pour ainsi dire quasi-constants même si ils sont la plupart du temps très modérés et avec un impact limité. Ils consistent en des troubles du transit parfois liés à une entérocolite et s'accompagnant de douleurs abdominales et surtout d'un syndrome rectal avec un fractionnement des selles qui deviennent glaireuses et de quelques faux besoins. Les patients qui ont des hémorroïdes développent plus précocement et plus volontiers un inconfort anal avec quelquefois des hémorragies et devront être traités précocement.

L'essentiel de ces effets secondaires disparait quelques semaines après la fin de l'irradiation.

Les complications tardives sont beaucoup plus rares de l'ordre de 7 à 10% pour les complications grade 1-2 et sont devenues exceptionnelles pour les complications graves (3,5% de grade 3 et 0.5% de grade 4). Ces complications tardives, lorsqu'elles surviennent, sont essentiellement anorectale, les risques d'entérite ne survenant que lorsque de larges volumes de grêle ont été inclus dans un grand volume d'irradiation pelvien. L'évaluation de ces complications se fait selon le score, LENT SOMA (Late Effects on Normal Tissu Scale) du RTOG-EORTC:


Grade 1 : aucun changement.

Grade 2 : diarrhées légères ; quelques douleurs coliques ; moins de 5 selles par jour ; selles glaireuses.

Grade 3 : diarrhées modérées ; plus de 5 selles par jour ; rectite glaireuse ou hémorragique.

Grade 4 : obstruction ou rectorragie nécessitant une chirurgie.

Grade 5 : nécrose, perforation, fistule.


 

II. COMPLICATIONS URINAIRES DE LA RADIOTHÉRAPIE EXTERNE

Les complications urinaires de la radiothérapie sont rares même si au cours de l'irradiation les phénomènes irritatifs sont très fréquents. Il est cependant de règle de ne pas irradier une très grosse prostate adénomateuse chez des patients dont l'IPSS est élevé sous peine de voir survenir en cours de traitement un syndrome rétentionnel. La levée de l'obstacle préalable fera appel aux traitements médicaux ou chirurgicaux habituels. Le début de l'irradiation devra être différé après une résection transuréthrale pour éviter de majorer le risque d'incontinence urinaire ou de sténose ultérieure et ne débutera qu'après cicatrisation complète de la loge de résection, en général au troisième mois. Une radiothérapie externe sur sonde urinaire en place s'accompagne d'un taux élevé de sténose et/ou d'incontinence et doit donc être évitée.

Nous livrons partout dans le monde. 

Pour plus d'informations, vous pouvez contacter nos experts au +229 51374202 en ligne directe ou par WhatsApp au même numéro.

 

prostatite chronique traitement naturel prostatite traitement naturel prostatite homéopathie

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

Anti-spam