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CHIRURGIE DU PROLAPSUS: DÉROULEMENT, DOULEUR, COMPLICATION

Par Le 26/12/2019 0

Dans FERTILITÉ FÉMININE

CHIRURGIE DU PROLAPSUS: DÉROULEMENT, DOULEUR, COMPLICATION
Généralité
Un prolapsus est la descente d’un organe ou d’une partie d’un organe (vessie, utérus, rectum)
La cavité pelvienne est située dans le bassin, sous la cavité abdominale qui contient les viscères. C’est la partie la plus basse du tronc. Elle contient la vessie et le rectum et en plus, chez la femme, l’utérus. Ces organes sont soutenus par des muscles (le muscle élévateur de l’anus et le muscle coccygien) et des ligaments qui constituent ce qu’on appelle le plancher pelvien. Ce plancher pelvien a une forme de hamac et est fixé aux os du bassin. Sa fonction est :
·         De fermer la cavité pelvienne.
·         De soutenir et élever le plancher pelvien pour aider à l’expulsion des selles lors de la défécation.
·         De résister à la pression intra-abdominale qui aurait pour effet d’expulser le contenu de la vessie, du rectum et de l’utérus.
Le plancher pelvien comprend des orifices pour le rectum et l’urètre et, en plus, chez la femme, un orifice pour le vagin au fond duquel est situé l’utérus.
Sa partie la plus inférieure est appelée périnée. Un prolapsus est la chute d’un organe ou d’une partie d’un organe à la suite du relâchement de ses moyens de fixité.
Dans le langage courant, quand on parle de « prolapsus », on parle généralement des troubles de la statique pelvienne donc d’un relâchement des muscles du plancher pelvien qui entraîne l’extériorisation des organes pelviens. On parle vulgairement de « descente d’organe » :
·         Le prolapsus de la vessie est appelé cystocèle : c’est le plus fréquent (80% des prolapsus pelviens). Il s’agit de l’extériorisation de la vessie dans le vagin par effondrement de la paroi antérieure du vagin.
·         Le prolapsus de l’utérus est appelé hystérocèle. Il s’agit de l’extériorisation de l’utérus dans le vagin par effondrement des parois du vagin.
·         Le prolapsus du rectum est appelé rectocèle. Il s’agit de l’extériorisation du rectum dans le vagin par effondrement de la paroi postérieure du vagin. On parle de prolapsus rectal complet en cas d’extériorisation complète du rectum dans le canal anal qui se retourne sur lui-même à la façon d’une manche qu’on retire rapidement.
C’est une pathologie qui touche préférentiellement la femme, en particulier ménopausée. Les prolapsus des différents organes pelviens sont souvent associés. C’est une affection courante donc le diagnostic est clinique et rapide mais dont la prise en charge chirurgicale est complexe. Néanmoins, il existe un centre de phytothérapie nommé Dawasanté qui met à votre disposition un traitement fait à base de racine, plante et feuille naturel pour vous soigner le prolapsus définitivement, sans effet secondaire . Cliquez sur l’image ci-dessous pour découvrir ce traitement naturel . 
                               

         

                
Les facteurs de risques sont :
·         La multiparité donc le fait d’avoir eu plusieurs enfants.
·         Les accouchements par voie basse traumatiques (gros bébés de poids > 4 kg, manœuvres obstétricales parfois instrumentales, etc.).
·         L’obésité.
·         Le vieillissement et la ménopause par vieillissement des tissus.
·         Les efforts de poussée abdominale (constipation chronique, musculation trop intensive des muscles abdominaux chez les sportifs de haut niveau).
·         Les antécédents de chirurgie pelvienne.
La chirurgie du prolapsus (également communément appelé descente d'organes) consiste à remettre en place les organes (vessie, utérus et vagin, rectum) qui sont descendus trop bas dans le petit bassin.
Qu'est-ce qu'une chirurgie du prolapsus (descente d'organes) ? 
La chirurgie du prolapsus (également communément appelé descente d’organes) consiste à remettre en place les organes (vessie, utérus et vagin, rectum) qui sont descendus trop bas dans le petit bassin. En effet, en cas de prolapsus, un ou plusieurs des organes pelviens se déplacent de façon anormale vers le bas. Dans certains cas, le prolapsus est si important que l’organe peut faire saillie à l’extérieur, à travers la vulve (extériorisation).
Quelles sont les indications qu'une chirurgie du prolapsus (descente d'organes) ?
La chirurgie n‘est pas un traitement systématique en cas de descente d’organes. En effet, cette intervention est réservée aux personnes chez qui le prolapsus entraîne des désagréments d’ordre fonctionnel, à savoir :
- Des problèmes lors de l’activité sexuelle,
- Des troubles urinaires,
- Des difficultés à aller convenablement à la selle (sans douleur et sans besoin impérieux irrépressible).
Tout dépend donc du vécu de la patiente, certains prolapsus importants n’entraînant que peu de gêne. De plus, la chirurgie de la descente d’organes n’est généralement proposée qu’après l’échec d’une rééducation du périnée en kinésithérapie ou le port de dispositifs de soutien (pessaires). La chirurgie du prolapsus peut aussi permettre de traiter conjointement l’incontinence urinaire d’effort.
Comment se déroule une chirurgie du prolapsus?                      
La chirurgie du prolapsus peut s’effectuer par trois voies d’abord possibles :
- La laparotomie (ouverture de l’abdomen), sous anesthésie générale (mais rarement nécessaire),
- La voie haute par cœlioscopie, sous anesthésie générale (une à deux heures),
- La voie basse qui est la voie vaginale, sous anesthésie locorégionale (péridurale) et qui dure une heure.
Lorsqu’on procède par voie haute, le chirurgien replace les organes et les suspend au sacrum (os central du bassin) à l’aide de bandelettes de fil chirurgical afin d’éviter la récidive du prolapsus. Par voie vaginale, l’opération consiste à retirer l’utérus et à remonter la vessie et/ou le rectum ; ils seront là aussi soutenus avec du fil chirurgical (ou en réutilisant les ligaments de l’utérus). C’est dans ce second cas qu’on peut traiter simultanément l’incontinence urinaire d’effort en mettant en plus en place une bandelette sous l’urètre (canal qui conduit l’urine de la vessie à la vulve). D’une façon générale on fait également en sorte de renforcer le plancher pelvien.
La chirurgie du prolapsus fait-elle mal ?
La chirurgie du prolapsus n’est pas une opération anodine et elle est suffisamment douloureuse pour que le personnel médical administre un puissant antalgique dans les 24 heures qui suivent. Par la suite on peut retrouver des douleurs abdominales d’intensité moyenne liées à des troubles du transit.
Quelles sont les complications d'une chirurgie du prolapsus ?
Les risques liés à l’intervention sont relativement bien maîtrisés. Les lésions des organes voisins (intestins, voies urinaires ou vaisseaux notamment) restent exceptionnelles. En revanche, il peut être décidé au cours de l’intervention de changer la voie d’abord, une laparotomie (ouverture de l’abdomen) pouvant se révéler nécessaire (laparo-conversion). Par ailleurs, suite à l’intervention, un hématome ou une infection de la cicatrice ou encore une infection urinaire peuvent survenir. Les hémorragies et infections sévères sont rares et nécessitent une nouvelle intervention. De même les risques vitaux ou de séquelles graves existent, comme dans toute intervention chirurgicale, mais ils restent exceptionnels.
Quelles sont les suites post-opératoires d’une chirurgie du prolapsus?
Suite à une chirurgie du prolapsus, un traitement antalgique est administré pendant 24 heures ainsi qu’un traitement anticoagulant (pour éviter les phlébites). Dans un second temps on procède au retrait de la sonde urinaire, ce qui peut occasionner quelques difficultés à uriner dans les jours qui suivent (un traitement médicamenteux peut être instauré le cas échéant). Quoi qu’il en soit, qu’elle que soit l’intervention réalisée (par cœlioscopie ou par voie vaginale), une hospitalisation de trois jours et un arrêt de travail compris entre 8 et 15 jours sont nécessaires. Dans les deux cas, les rapports sexuels sont possibles au bout d’un mois, lorsque la cicatrisation est correcte. Il faudra en revanche éviter de soulever des charges importantes (pendant trois mois) et de réaliser des efforts de poussées (attention à la constipation par exemple, d’où la nécessité de surveiller son alimentation). A noter que certaines chirurgies du prolapsus ne permettent une amélioration que partielle (lorsqu’elles n’échouent pas), de sorte que certains symptômes liés à la descente d’organes persistent. De plus, le principal risque est la récidive (qui peut survenir dans les mois ou années qui suivent). En effet, les tissus de soutien étant vieux, les descentes d’organes ont tendance à récidiver.
                                                                                                         
S’il existe un facteur de risque évident tel que l’obésité, il doit être traité. Une bonne hydratation et une bonne alimentation (régime riche en fibres) sont préconisées. Les traitements hormonaux substitutifs contribuent à lutter contre la perte d’élasticité des tissus chez les femmes ménopausées. Dans les cas de prolapsus les plus importants, le médecin propose une intervention chirurgicale afin de fixer l’organe souffrant de prolapsus. Il existe plusieurs techniques selon le type et le degré du prolapsus.
 

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